1. Nathalie Soubrette vendu Ch. 14


    Datte: 13/12/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: mikulica, Source: Literotica

    ... toutes ces personnes présentes! Je ne suis plus un homme? Je sens l'envie de vomir monter en moi. Je n'en ai pas le temps que déjà un autre homme à remplacer Monsieur au fond de ma gorge, puis un autre et encore Monsieur. Toujours avec la même vigueur, la même sauvagerie. Les femmes se pressent pour regarder, elles encouragent ses Messieurs. Certaines les aident même en me tenant la tête ou en me tenant le cou. Quand un a terminé son ouvrage, ses Dames s'empressent de récupérer le sperme qui coule le long de mes lèvres ou qui s'accumule sur mes yeux avec leurs doigts et me forcent à l'avaler en me le réintroduisant de force dans la bouche. Puis ils recommencent. Combien de fois? Je ne peux le dire. Des litres, je crois que j'ai bu des litres de spermes. Je ne sens plus mes mâchoires, ma bouche reste en permanence grande ouverte. J'attends la fin de ce calvaire. Les coups sont plus délicieux que ce foutre froid, gluant et amer. Enfin, cela cesse. Je voudrais crier, mais je n'en ai plus la force.
    
    Karina vient vers moi avec une serviette, elle m'éponge le visage et me libère la tête de mes entraves. Mon Dieu! Je suis devenue un pantin désarticulé. Ma tête tombe vers l'avant. Je ne peux la relever, je n'ai plus d'énergie, plus de force. Karina me masse le cou et effectue des rotations tout en douceur avec ma tête. Elle la remue de droite à gauche et de haut en bas. Peu à peu, les forces me reviennent, je peux à présent supporter le poids de ma tête et la redresser toute ...
    ... seule. Ce faisant, je commence à ressentir quelques douleurs cervicales. En bougeant ma tête de droite à gauche, je peux voir que la pauvre Pénélope subit la même chose que moi.
    
    Karina repartie avec les autres, je reste seule et j'attends le moment de la délivrance. Au bout d'un temps interminable à attendre et à regarder sur l'écran en face de moi la pauvre Pénélope qui à son tour subi les assauts de ces bêtes déchaînées, Madame vient vers moi, me caresse les joues et dépose des baisers un peu partout où elle le peut. Elle glisse sa langue dans la mienne et me donne un langoureux baiser. Elle me lèche tout le visage à la recherche de quelques gouttes de sperme. Elle me nettoie littéralement le visage avec sa langue. Ce contact de Madame m'apaise un peu, pour moi, c'est plus naturel que ces hommes qui m'ont salie, qui m'ont humiliée. Si j'en avais eu la possibilité, si j'avais été libre de mes mouvements, à ce moment-là, j'aurais pu les tuer. C'est pour cela que j'avais expressément demandé à Madame de ne subir la volonté des hommes, que contrainte attachée et forcée.
    
    Tu verras m'a-t-elle dit, avant la fin de ton dressage, tu les réclameras sans contrainte, tu aimeras ça. Je veux bien tout croire venant de Madame mais pas ça, JAMAIS!! Madame me flatte encore un peu de ses attentions, de ses baisers, elle voudrait bien me toucher plus mais ma position, mes liens l'en empêche. N'y tenant plus elle se relève et frappe dans ses mains. Aussitôt, deux des vestales accourent vers ...