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Nathalie Soubrette vendu Ch. 14
Datte: 13/12/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: mikulica, Source: Literotica
... sur le côté de la cheminée, que je m'aperçois que les Maîtresses Linda et Zaria ont disparu! Une autre fille fait de même avec Pénélope, mais la place de l'autre côté de la cheminée? Juste sur les côtés mais à l'avant de la cheminée se trouve deux socles en granit poli, il mesure environ 1 mètre de haut, 1 mètre de long et 60 cm de large. Les filles viennent vers moi, me soulèvent de ma table et m'installent sur ce socle. Elles prennent mille précautions pour m'installer, pour m'aligner par rapport à ce socle, je sens leurs doigts qui s'activent sur ma peau, elles arrangent mon plumet de tête, rectifient mon mors, mon museau, mes cheveux et brossent le panache de ma queue. Puis je les entends sûrement faire pareil avec Pénélope. Immobiles, sans pouvoir bouger, ni parler telles des statues de marbre, nous pouvons cependant voir tout ce qui se déroule dans la salle. Nous faisons office de bibelots vivants. Les douleurs de notre position ne sont pas plus fortes que ça, au contraire, je crois que l'engourdissement nous anesthésie peu à peu. L'insolite de la situation provoque en moi des palpitations de jouissance, j'aime être ainsi exposée à la vue de tous et totalement contrainte, à leur merci. Des bouffées de chaleur montent à mes tempes, à moins que cela ne soit le feu dans la cheminée? C'est la première fois que je suis ainsi exposée, exposée comme un bibelot. J'ai déjà servi comme table, comme lampadaire, comme porte bougie, comme siège, comme plateau, mais c'était ...
... autre chose, je pouvais bouger. Là rien, je ne peux rien faire qu'attendre que l'on vienne me délivrer de cette position. La pauvre Pénélope! Que doit-elle penser, à quoi peut-elle bien songer? Aime t'elle comme moi se genre de soumission? Au fait, pourquoi les filles ne nous câlinent pas comme d'habitude, elles restent froides, ne font même pas attention à nous! Pas le temps de gamberger! La lumière se fait moins forte et des bruits, des chuchotements se font entendre. Nous sommes Pénélope et moi aux premières loges. La porte s'ouvre et Madame et sa sœur, Hélène entre côte à côte. Elles sont très sexy. Madame est habillée d'une robe courte noire, très moulante, sa sœur est vêtue plus gotique. Elle aussi est en noir, mais avec un voilage qui laisse apparaître ses formes généreuses, chaînes et cuir. Elles entrent majestueuses, viennent vers la table. Madame tape dans ses mains, les filles se placent de part et d'autre de la table les bras le long du corps sans bouger, elles attendent. Les convives entrent dans la pièce dans un brouhaha de paroles. Suffoquée, je suis estomaquée par ce que je vois. Il est plus naturel pour nous, esclaves d'entrer de la sorte, mais là? Tous les convives sans exception sont totalement nus! Je reconnais Monsieur, mon amie Karina l'infirmière, Monsieur Paul, Monsieur André, Estelle et une demi-douzaine d'autres femmes. Tous sont à poil. Madame et sa sœur détonnent dans ce tableau. Tous prennent place autour de la table et s'assoient. Les esclaves ...