1. Une rencontre à compléter


    Datte: 11/12/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Bimurcirc, Source: Hds

    Je m'appelle C. et vis avec mon épouse N., bcbg à gros seins, appréciant les hommes aussi bien que les femmes.
    
    Ceci est une expérience gay qui m'a bien plue, et qui nous a ouvert quelques horizons…
    
    J'aime m'exciter les tétons ou mieux me les faire exciter. Ils sont saillants, très sensibles et durcissent dès que je suis un tant soit peu chaud. N., mon épouse à la poitrine très sensible, doit d'ailleurs veiller à me les faire durcir, ce à quoi elle prend grand plaisir, pour que je puisse bien cracher mon jus tout chaud : ça l'excite de les voir bien érigés, dressés ou tendre ma chemise ; elle sait alors qu'elle va bien en profiter. J'ai une queue circoncise, à gros noeud, épaisse et bien arquée.
    
    Nous sommes naturistes et libertins. Je suis candauliste, mon épouse m'est soumise et apprécie autant les hommes que les femmes, surtout en pluralité. J'aime me montrer et me faire toucher.
    
    J'ai échangé sur un site avec un correspondant d'une soixantaine d'années. Il cherchait un homme d'environ quarante ans, ce qui était mon cas à l'époque, pour s'occuper de lui. J'avais eu des expériences de ce type près de vingt ans plus tôt (cf La Livraison et Le Majordome) et j'en conservais un souvenir ému. A l'époque j'avais servi d'escort boy - en d'autres termes de petite pute vide couilles - pour messieurs beaucoup plus âgés… Je n'avais jamais renouvelé cette expérience.
    
    Rendez vous fut pris pour faire connaissance. Je suis ainsi arrivé devant son petit immeuble de trois ...
    ... étages, situé dans une bourgade rurale.
    
    Mon correspondant m'attendait dehors : effectivement, il correspondait aux photos qu'il m'avait montrées. Une soixantaine très avancée, des cheveux blancs, un peu rondouillard, vêtu d'un jean assez serré et d'une chemise ouverte sur un torse poilu.
    
    Il me demande sur un ton autoritaire de monter dans un ascenseur assez étroit et commence par me peloter les fesses et les couilles au travers de mon pantalon. Vu l'exiguïté du lieu, pas moyen d'y échapper, mais j'étais venu pour cela. Je bandais instantanément. Mes couilles me faisaient mal tellement elles étaient tendues. Il les soupesaient comme un maquignon.
    
    - Bonne paire, dit-il élégamment.
    
    Nous débouchons sur le palier. Il passe devant en me tenant toujours par les couilles et en les serrant au travers de mon pantalon en toile légère. Je le suivais comme un toutou, inquiet à l'idée de rencontrer des voisins. Par chance, personne.
    
    Nous entrons dans un petit appartement. Sa chambre est à droite, la pièce de réception à gauche. Il me précède dans sa chambre et s'assied confortablement sur le grand lit double en m'ordonnant gentiment mais fermement de me déshabiller entièrement, suffisamment lentement pour qu'il puisse pleinement profiter du spectacle.
    
    Je me suis exécuté sous le regard avide de cet homme qui se touchait au travers de son pantalon, en m'ordonnant par des mots crus de me pencher, d'écarter les cuisses, de bien lui montrer ma queue, de me caresser les seins, ...
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