La Nouvelle Vie Charly 16 - Histoires de Sexe

La Nouvelle Vie Charly 16

... des solutions.

C-- Mon pauvre père va avoir tout perdu dans cette histoire, sa femme, sa mère, son fils. Ça va vraiment être difficile pour lui.

H-- Maîtresse Charline, il ne peut plus avoir de retour en arrière. Michel va sans doute souffrir mais s'il avait moins délaissé sa famille pour son travail tout cela ne serait peut être jamais arrivé.

A-- Bon ce n'est pas tout, ce soir on reçoit du monde. Les chiennes! Au programme ménage et préparation du dîner pour cinq personnes. Au boulot!

M et H-- Oui Maîtresse.

A-- Toi Charline je vais te relooker un peu, tu es trop glamour, je te veux un peu plus dominatrice.

Ma mère et ma grand mère s'affairaient à nettoyer toute la maison et faire la cuisine. La bonne odeur qui émanait de la cuisine ouvrait mon appétit, ma mère avait fait de sérieux progrès en cuisine depuis qu'elle était sous l'emprise de notre bonne.

Pendant ce temps Anna enlève mes mèches roses, étire au maximum mes cheveux et me coiffe d'une queue de cheval, elle maquille mes cils de noir et mes paupières d'un fard gris enfoncé, elle souligne le tour de mes lèvres au crayon noir puis m'applique un rouge à lèvres vif et éclatant, elle vernie mes ongles en noirs. D'un sac elle sort des bas auto fixant, un perfecto court, une mini jupe et des bottes en cuir noires.

L,'après midi se faisant, moi et Anna regardions une de ses séries préférées, les deux vieilles chiennes donnaient leur maximum pour effectuer les tâches ménagères. Par moments nous les ...

... appelions pour qu'elles nous servent de repose pieds, elles devaient se mettre face à face et mélanger leurs langues avec gourmandise. Lorsque nos jambes étaient bien reposées je leur présentais le bout de la cravache pour qu'elles le lèchent et ensuite je foutais d'un coup sec et puissant leurs fesses pour qu'elles retournent au travail.

A-- C'est peut être moi qui vais mettre la table. Vous êtes vraiment des bonnes à rien, il faut tout vous dire!

H-- J'y vais tout de suite, Maîtresse.

Lorsque les deux chiennes avaient fini toutes les tâches ménagères, il était temps de les préparer pour les invités.

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A vingt heures, nous pouvions voir par la porte fenêtre du salon, une grande limousine noire arriver dans notre cour.

Ma mère et ma grand mère sont habillées avec juste d'une veste de tailleur noire, bas et porte-jarretelles noirs, chaussures louboutin. Des poids et une chaînette sont attachés à leurs tétons, à quatre pattes, les seins pendants, suçant des godes noirs fixés par une ventouse sur le sol du salon. Moi à genoux entre elles, je les tiens en laisse, Anna est derrière moi habillée en soubrette, ma laisse dans une de ses mains et de l'autre elle leur travaille le cul à grands coups de cravaches.

La porte d'entrée apparaît Ousmane, Vladimir et une grande femme très maigre sans aucune forme, habillée d'un tailleur bleu marine, son visage est austère, ses yeux sont d'un bleu à la limite du gris tellement ils sont clairs, ...