1. Pour son plaisir… et celui des autres Chapitre 2


    Datte: 10/12/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Steve40, Source: Hds

    ... s’affaissa, le corps couvert de foutre, de sueur, de plaisir.
    
    Le silence retomba comme un voile sur la pièce, chaud, dense, chargé de ce qui venait de se passer. Virginie restait là, à genoux sur le lit, le souffle court, les cuisses encore tremblantes, le corps vibrant de plaisir. Son ventre, sa poitrine, son dos... tout était maculé de sperme, de sueur, de traces laissées par leurs corps mêlés dans cette étreinte sauvage.
    
    Ses seins pendaient, marqués, rougis par les mains et les bouches qui les avaient adorés, malmenés, tirés. Sa peau, couverte de frissons, gardait la mémoire vivante de chaque contact, de chaque poussée, de chaque mot sale qu’elle avait prononcé sans retenue. Elle avait joui fort, sans limite, comme rarement auparavant. Et maintenant, elle flottait dans cet entre-deux délicieux, entre l’épuisement et l’extase prolongée.
    
    Steve s’approcha doucement d’elle, presque avec révérence. Il posa une main sur sa joue, la caressa avec une infinie douceur, contraste absolu avec la brutalité assumée d’avant. Puis, lentement, il retira le bandeau de ses yeux.
    
    Virginie cligna plusieurs fois des paupières, désorientée. La lumière douce de la chambre l’enveloppa, familière mais presque irréelle. Elle tourna la tête, reconnaissant les murs, le lit, les rideaux… et soudain, l’évidence la frappa.
    
    — On est… ici ? murmura-t-elle, surprise.
    
    Elle avait eu l’impression d’être ailleurs. Arrachée à la réalité, comme emportée dans un monde parallèle fait ...
    ... uniquement de plaisir, de chair, de gémissements et de domination. Pendant un instant, elle avait tout oublié, même où elle se trouvait.
    
    — J’étais… partie, souffla-t-elle. Je croyais être dans un autre endroit… comme si plus rien d’autre n’existait.
    
    Steve la regarda avec ce mélange de tendresse et de désir encore présent dans ses yeux.
    
    — C’est exactement là que je voulais t’emmener, répondit-il doucement. Loin de tout. Et maintenant, je te ramène… chez nous.
    
    Un sourire se dessina sur ses lèvres, un sourire fatigué mais heureux. Elle se laissa glisser contre lui, dans ses bras ouverts, s’abandonnant à cette chaleur familière. Il la couvrit d’un plaid léger, l’enlaça, déposa un baiser sur son front.
    
    Elle était encore nue, salie, marquée. Et pourtant, jamais elle ne s’était sentie aussi belle, aussi vivante. Elle murmura d’une voix encore voilée :
    
    — J’adore quand tu me laisses aller si loin… quand je peux tout lâcher… T’as vu comme j’étais ? Sale, incontrôlable… et heureuse.
    
    — Et magnifique, répondit Steve. Absolument magnifique.
    
    Le calme était revenu. Mais leur lien, lui, brillait encore plus fort dans cette intimité retrouvée, dans ce silence complice, dans ces regards où tout se disait sans un mot de plus.
    
    — Mon corps est en feu… j’ai mal partout, chuchote-t-elle.
    
    — T’es sublime comme ça, répond.
    
    Steve la conduit dans la salle de bain, la fait s’asseoir sur le rebord de la baignoire, prend un gant tiède, doux, et commence à la nettoyer avec lenteur, ...
«1234...»