La Domestique (Partie 4) - Histoires de Sexe

La Domestique (Partie 4)

... trouvant le temps long. Elle était pressée que le jeune homme la caresse ou encore mieux, qu'il lui refasse l'amour comme il l'avait fait quelques heures plus tôt. Lorsqu'elle sentit Éric s'asseoir de nouveau sur le lit, elle frémit, empressée d'être touchée.

Quand la main lui pressa son sein droit, elle poussa un petit gémissement, surprise que le garçon soit si brusque, lui faisant presque mal. Cela n'avait plus rien à voir avec la douceur dont il avait fait preuve à l'hôtel, et cela l'excita. Il avait eu raison en lui affirmant qu'avec les yeux bandés, elle serait bien plus réceptive. Durant de longues minutes il lui malaxa sa poitrine avant de glisser sa main entre ses cuisses ouvertes.

- Tu es magnifique ma chérie, j'adore ton corps.

Étrangement, elle eut l'impression que la voix était atténuée, comme lointaine, mais elle mit cela sur le dos du bandeau.

Alice poussa un petit cri lorsque les doigts s'enfoncèrent dans sa chatte sans défense. Comme pour son sein, il n'avait mis aucune douceur, y allant franchement. Elle se retint de le lui dire, se rappelant qu'elle devait rester silencieuse et se laisser faire. Pourtant, malgré la violence du doigté, elle finit tout de même par trouver du plaisir, appréciant finalement cette rudesse.

Elle supposa qu'Éric avait décidé de lui faire connaître autre chose, pour lui montrer que le désir avait une multitude de visages. En étant moins doux avec elle, il complétait son éducation amoureuse et elle lui en fut ...

... reconnaissante.

Charles De Villemorin était de plus en plus excité, tant ce corps était extraordinaire. Son fils avait raison lorsqu'il en avait fait l'éloge, lui certifiant que cette femme était parfaite. Il avait adoré sa poitrine comme il adorait maintenant sa petite chatte qu'il trouvait d'une texture fabuleuse.

Il avait eu envie de cette jolie boniche dès qu'il l'avait vue dans la salle à manger. Maintenant, elle allait être à lui et personne ne viendrait l'empêcher de la baiser. Il pensa à la mère Angéline qui avait fait un excellent travail, se promettant de la récompenser pour avoir sélectionné une telle fille.

N'y tenant plus, il s'allongea sur le jeune corps, qui n'attendait que ça. Lorsqu'il guida son membre dans la vulve détrempée, il prit un pied comme jamais il n'en avait eu jusqu'ici. Sa chatte serrée était un vrai bonheur et ses gémissements de plaisir étaient des plus jouissifs.

Plongeant en elle jusqu'à la garde, il attendit quelques secondes avant de commencer à la limer. Elle était adorable malgré le bandeau sur les yeux, mais l'expression de son visage montrait qu'elle aimait être baisée. La bouche ouverte et le souffle court, elle appréciait chaque seconde, dévoilant un côté de sa personnalité bien caché jusqu'ici.

L'homme, excité, amplifia au maximum ses va-et-vient qu'il essaya de faire le plus lentement possible. Sa chatte lui procurait un bien-être incroyable, comme si une bouche aimante le suçait avec fougue.

Eric n'en ratait pas une ...