1. Faux-semblants


    Datte: 26/09/2019, Catégories: fh, jeunes, grossexe, taille, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, sm, attache, aventure, fantastiqu, merveilleu, sorcelleri, merveille, fsoumisah, Auteur: Ober0n, Source: Revebebe

    ... cet instant précis que toutes les alarmes magiques du domaine se mirent à retentir.
    
    *******************************
    
    — Merde. Pourtant, j’avais désactivé toutes les alarmes de la salle des collections…
    — Tu étais venu chercher quoi ?
    — Une orbe : un puissant focus magique, gardé dans le coffre de la salle.
    
    À ces mots, Alia fit une moue dubitative…
    
    — Je t’écoute…, dit-il.
    — Les elfes noirs… Deeskar devait leur remettre plusieurs objets. Des cartes… provenant d’un étrange jeu de tarot. Il estimait que le jeu, une fois complet, devait avoir une puissance magique incroyable…
    — Les cartes étaient conservées à quel endroit ?
    — Le coffre. Dans son bureau.
    — Viens vite !
    
    Ils se précipitèrent dans le bureau du comte, conscients qu’ils n’avaient que quelques secondes d’avance sur les gardes du domaine, dont ils entendaient déjà les pas dans l’escalier.
    
    Le bureau était vide, la porte du coffre-fort pendait sur ses gonds, le tout à moitié fondu.
    
    Au cours de son entretien avec le comte, Airen avait deviné juste : le tableau représentant le jeune éphèbe occultait bien l’emplacement d’un compartiment secret.
    
    Maintenant, la toile reposait au pied de ce dernier, totalement vide. Et, sur le torse du jeune homme, bien en évidence, l’empreinte de deux lèvres féminines faites au rouge à lèvres…
    
    — Alia… le comte était marié ?
    — Sûrement pas ! Ce n’était vraiment pas le genre.
    — Merde…
    
    *******************************
    
    Alanguie, nue, sur un canapé recouvert ...
    ... de fourrures, Délie Evargryn avait toute son attention focalisée sur les éléments du tarot étalés sur la table basse devant elle.
    
    Deux groupes différents étaient disposés de manière à former un « T » couché avec, à l’écart, deux autres cartes, placées verticalement de part et d’autre de la figure géométrique. Cette dernière était constituée d’une ligne horizontale de trois figures faisant face à une colonne comportant le même nombre de cartes.
    
    À l’écart des huit rectangles colorés dont le recto était dévoilé, le talon du jeu reposait juste à côté d’un superbe boîtier d’or et d’ébène sculptés. La magie de celui-ci avait préservé le précieux contenu durant des siècles, le temps, pour les propriétaires successifs du Tarot d’Arysmée, de patiemment en rassembler les cartes, éparpillées il y avait des millénaires de cela, aux quatre coins de ce qui devint Mitterdom.
    
    Sur la rangée horizontale, une figure féminine était peinte sur la première carte. La peau pâle, les oreilles pointues ne laissaient aucun doute : une elfe. Le portrait se détachait sur l’arrière plan représentant une forêt.
    
    Sur le rectangle suivant, une épée stylisée – à la pointe en un seul biseau – était dessinée, verticale, pointe en bas, sur un fond totalement écarlate.
    
    Enfin, la troisième illustration représentait un orc, à l’air féroce, partant à la guerre, un oriflamme aux armes de la déesse Mérys bien visible derrière lui.
    
    Les trois autres cartes figuraient, de haut en bas, une silhouette ...