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A cinquante ans, une femme baise (3)
Datte: 08/12/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds
... propose pas une liaison, juste du sexe. Mais du sexe complet, sans tabous, où je vais tout faire pour que tu t'éclates. Ton corps m'excite terriblement. Mais si tu ne veux pas, je n'insisterai pas. Elle voulait. Elle jugea qu'elle avait passé l'âge de faire des manières. Elle l'accompagna chez lui, le corps déjà en fusion. Et quand ils furent nus sur son lit, son vagin était déjà trempé de désir. Comme un bon amant, il voulut faire durer les préliminaires en jouant de sa langue et de ses doigts mais elle l'implora de la pénétrer. Elle voulait sa queue en elle après l'avoir goûtée de sa bouche, dure, prometteuse. Il la prit bras tendus, cul mouvant et elle répondit pieds sur le matelas, ripostant avec sa vigueur d'ancienne athlète. Il gicla rapidement, subjugué par cet enthousiasme, mais elle le ranima de sa langue et de quelques mots crus qui l'étonnèrent dans sa bouche. Ce fut cette fois beaucoup plus long, plus varié, plus cochon. De vieux automatismes érotiques furent réveillés chez Ghislaine, qui avait beaucoup baisé dans sa jeunesse. Fabrice eut droit à un massage de prostate, à un léchage d'anus et de couilles, à une invitation à entrer dans son cul, la totale. Ghislaine baisait comme une femme de cinquante ans, expérimentée, sans tabous. Et Fabrice se régalait. La voir cavaler sur lui, échevelée, ses gros nichons claquant sur son torse, son abondante chair en vibration, le visage radieux, des encouragements à durer à la bouche, était ce qu'il avait connu de ...
... mieux dans le genre depuis longtemps. Ce fut le début d'une liaison torride, Fabrice exigeant dans leurs retrouvailles qu'elle se présente au lit dans son minuscule bikini afin d'avoir le plaisir de dénouer les minces cordons, des doigts ou des dents et de découvrir totalement ce corps devant lequel bavaient les internautes. Et surtout de le pénétrer. Le mari de Ghislaine ne connut rien de cette double vie. Elle l'acceptait entre ses cuisses de temps à autres pour qu'il n'ait pas de soupçons de son infidélité. Elle ne culpabilisait pas parce qu'il l'avait trouvée "trop grosse". Et c'est à cause de cette réflexion qu'il était trompé, pour le plaisir de Fabrice. Ainsi peut-on en conclure qu'un mari ne doit jamais mépriser le corps de son épouse. Surtout quand elle a envie de profiter de ses derniers feux. ***** Intéressons-nous maintenant à une autre quinquagénaire prénommée Manuella. Elle est moins grande que Ghislaine mais tout aussi potelée et son abondante chevelure blonde peroxydée la fait remarquer de loin. Différence majeure avec le couple Ghislaine-Fabrice : Manuella et son mari Lucas baisent. Loin d'avoir été lassé par le corps ménopausé de son épouse, il a trouvé dans l'augmentation de ses rondeurs une excitation supplémentaire. Il adore ses gros nichons et ses grosses fesses et comme elle adore aussi sa queue toujours aussi raide, ils forniquent régulièrement dans l'allégresse, rivalisent d'imagination, ne se repoussent jamais d'autant qu'elle n'a plus ses ...