1. Clémence, une jeune Aristo (02)


    Datte: 08/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: dominic47, Source: Literotica

    ... revoir après les vacances mais je n'ai plus eu de tes nouvelles. Pourtant tu m'avais assuré en fin de soirée que l'on se reverrait à la fin des vacances. » dit-elle déçue en passant ses deux mains dans le pantalon et le tirant vers le bas.
    
    Elle est si violente que la culotte est emportée avec son bas, les boutons arrachés.
    
    Nue et totalement vulnérable aux caprices de la grande, Ophélie sent la honte brûler son visage.
    
    « On va remettre les pendules à zéro et nous serons à nouveau réunies. Nous allons rattraper le temps perdu » explique-t-elle en prenant une petite pagaie dans un tiroir.
    
    Ophélie grimace en apercevant la planchette en bois de bambou d'une dizaine de centimètre de large pour une longueur d'environ vingt centimètres.
    
    « Cela sera peut-être un peu désagréable pour toi, mais c'est un mal nécessaire. Tu m'as fait beaucoup de mal et j'entends que cela ne se reproduise plus. Tu m'excuseras si je ne vais pas être tendre avec toi » lui explique-t-elle froidement.
    
    Elle lui tapote ensuite le visage et se place derrière elle, la caresse de la tête aux reins, flatte les fesses, les pétri quelques instants pour s'imprégner de leur consistance puis lève le bras.
    
    « Splash »
    
    « Ouille »
    
    Le coup n'est pas très fort, mais suffisamment rapide pour surprendre et piquer la peau tendre.
    
    Clémence regarde les effets que produit cette première tape.
    
    « Tes fesses réagissent bien... elles commencent à se colorer » dit-elle ironique.
    
    La punition ne fait ...
    ... que commencer.
    
    Clémence recommence à abattre sa planchette sur le postérieur, encore et encore durant plusieurs minutes. Le derrière rougit.
    
    Ophélie se retient de crier mais les frappes commencent à la bruler, elle pousse de petites plaintes, se débat, agite son derrière dans tous les sens, rien ne la soulage.
    
    Et puis la douleur devient insupportable d'autant que la grande s'acharne. Elle frappe maintenant sans retenue, fort, très fort, pour faire mal, puis s'arrête. Elle reprend son souffle.
    
    « Tu ne peux pas savoir comme tu es belle quand tu résistes. J'aime ce caractère têtu. Mais ça ne sert à rien de luter. Tu ne peux pas gagner. Tu vas céder... Je vais te faire céder. Tu es une petite chienne, je te l'ai déjà dit... mais une petite chienne se doit d'être obéissante » dit elle odieuse.
    
    Machiavélique avec une pointe de sadisme, Clémence veut donner l'impression à Ophélie qu'elle agit de façon désordonnée, qu'elle la frappe pour simplement la punir, pour lui faire ressentir la douleur qu'elle à eu. Or ce serait bien mal la connaitre. La grande ne veut pas simplement se limiter aux souffrances physiques. Non, elle veut la pousser loin, très loin dans ses retranchements. Elle sait que sa prof est une battante, pugnace, résistante à l'effort et ce n'est pas une souffrance infligée à ses fesses qui la feront flancher. Bien sûr que non.
    
    Seulement clémence connait une partie de la face cachée de sa prof. Celle qu'elle a vue lors de son anniversaire. Elle sait ce ...
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