-
Clémence, une jeune Aristo (02)
Datte: 08/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: dominic47, Source: Literotica
... auparavant. C'était presque normal de commander les garçons pour qu'ils tiennent Ophélie afin qu'elle soit impuissante face à ses outrages, c'était une évidence ensuite de manipuler son frère, d'utiliser la cravache pour la faire crier et l'humilier définitivement en la poussant à l'orgasme sous le joug de son frangin. Clémence était tellement excitée en s'amusant avec Ophélie qu'elle aurait presque pu en jouir. Elle en a encore des frissons de plaisir. Il lui faut absolument retrouver ces instants de pouvoir et de félicité. Aussi, il y a six mois, lorsqu'elle revoit son ancienne prof en photo sur une maquette, tout devient clair dans sa tête. Aujourd'hui, devant l'attitude de son ancienne prof, elle cache sa joie pour n'exposer qu'une colère feinte. « Tu vas le regretter ma petite chienne » lui dit elle s'avançant vers Ophélie en claquant des doigts. Il ne faut que quelques pas pour que Clémence soit devant la belle brune, et alors que celle-ci baisse les yeux sur le chien qui se rapproche d'elle dangereusement, Ophélie reçoit une claque magistrale. Déstabilisée, elle vacille et tombe lourdement sur le plancher. La grande blonde ne perd pas de temps et profite de la désorientation de sa prof pour se jeter sur elle, tirer les menottes de sa poche, attraper une main puis l'autre et attacher ensemble les poignets. « Laisse moi salope » se lâche Ophélie hors d'elle en frappant la figure de la grande. Clémence accuse le coup. Sans répondre pour le moment, ...
... elle préfère se concentrer sur son objectif ; immobiliser Ophélie. Celle-ci rue en tous sens, continue à l'invectiver, or elle ne peut empêcher l'inévitable. Alors que la grande la maintient, Clémence sort une télécommande de sa poche, appui dessus, attend que le crochet descende du plafond et finit par attacher le mousqueton aux menottes. Ophélie se croit soulagée cependant elle déchante rapidement lorsqu'elle est hissée vers le haut et se retrouve les mains tendues vers le plafond, les pointes des pieds touchant à peine le plancher. « Mais qu'est-ce que tu fais... arrête ces bêtises » « Maintenant tu vas m'écouter... j'en suis persuadée! » répond Clémence « mais avant je vais te débarrasser de tous ces vêtements... tu vas avoir trop chaud!» ajoute-t-elle ironique en se mettant devant elle. Ophélie pousse un cri de surprise alors que la grande tend la main et tire sur le devant de la chemise, faisant sauter quelques boutons. Puis arrache d'un coup sec le chemisier et met à nu le soutien-gorge. « Oh mais dit donc, tu as pris du sein! » s'exclame-t-elle. « C'est la maternité qui t'a donné une poitrine plus généreuse? » taquine-t-elle tout en se dirigeant vers une étagère et revient avec un canif qu'elle agite sous les yeux effrayés d'Ophélie. Elle coupe ensuite les bretelles du soutien. « Oh mon dieu qu'ils sont beaux » reprend elle, puis tend la main, clairement dirigée vers la poitrine d'Ophélie. Les yeux écarquillés, sans qu'elle ne puisse se soustraire aux ...