1. Clémence, une jeune Aristo (02)


    Datte: 08/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: dominic47, Source: Literotica

    ... derrière en une seule pièce séparant les fesses, cette tenue éprouve considérablement Ophélie.
    
    Elle halète tout au long des manipulations de ses seins, louise les bougeant, les plaçant de façon qu'elle pense correcte, fait un pas en arrière, puis réajuste la poitrine, effleurant insidieusement les tétons.
    
    Par ailleurs, voyant le regard lointain de Clémence ; indifférente à son supplice, sagement Ophélie ne résiste pas, ne voulant pas contrarier la grande. Pire encore, la prof lutte vigoureusement pour se calmer, reconnaissant la possibilité très réelle de mouiller.
    
    Mais l'ajustement de son haut n'est que la partie la plus facile de l'opération.
    
    Satisfaite de ses progrès, Louise passe à la deuxième phase, tout aussi complexe.
    
    « RESTE TRANQUILLE OPHELIE! » aboie violemment Clémence alors que la métisse se trouve à nouveau devant son sexe.
    
    « Louise est là pour t'aider... et si j'étais toi, j'envisagerais d'écarter davantage tes jambes pour lui donner toute la place possible. » ajoute-t-elle toujours aussi sèche.
    
    Ophélie est pétrifiée.
    
    Elle grimace mais ne dit rien en signe de protestation et suit le conseil d'écarter ses jambes et cela malgré son humiliation. Retenant son souffle, elle a désormais son sexe entièrement offert, les cuisses ouvertes pour maximiser son accès, la tête baissée de honte, espérant contre tout espoir, empêcher Louise de l'exciter avec ses contacts pressants.
    
    "Unnmmh..." murmure Ophélie se mordant la lèvre inférieure avant de ...
    ... fermer les yeux de désespoir.
    
    Ophélie se sent tellement humiliée.
    
    Tout cela est tellement obscène et intrusif. L'intimité avec Louise est insupportable, avec son visage à quelques centimètres seulement de l'entrée de sa féminité... ouverte et vulnérable.
    
    Elle sursaute et souffle bruyamment lorsque la métisse, utilise son pouce et son index pour éloigner ses lèvres charnues du pli qui rencontre sa cuisse, et faillit même défaillir quand celle-ci, vicieuse, plaque sa paume et presse plus fortement les deux lèvres ensemble pour positionner les deux bouts de tissus de part et d'autre de sa vulve.
    
    Pire encore, le frottement de son clitoris désormais non protégé déclenche une charge tout le long de son torse, provoquant la chair de poule sur ses seins tremblants et ses mamelons sensibles.
    
    Ophélie se demande où cela mènera si Louise ne s'arrête pas bientôt. Elle craint de perdre le contrôle, du moins le peu qui lui reste.
    
    Craignant le pire arriver, elle tente une dernière fois de supplier Clémence du regard et celle-ci, contre toute attente, accède à sa demande.
    
    « J'ai l'impression que les attaches ont trouvé leur place » dit-elle à louise.
    
    Celle-ci comprend de suite le message.
    
    « Oui Madame de Ambourg... j'ai fini » répond elle.
    
    "Whuuuh...", expire Ophélie, soulagée lorsque les lacets sont en place et que la métisse se relève, s'écarte et regarde son travail.
    
    « J'ai l'impression que cet ensemble a été conçu rien que pour vous... il lui va à merveille ...