1. Clémence, une jeune Aristo (02)


    Datte: 08/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: dominic47, Source: Literotica

    ... sur la piste de danse.
    
    Si elle voyait une étudiante afficher ses seins de façon aussi provoquante, elle serait outrée. Or elle n'est plus une étudiante, elle est une jeune femme qui se dit responsable. Elle ne devrait pas se pavaner telle une aguicheuse, exhiber ses seins, afficher sa libido déchainée. L'image est celle d'une femme qui provoque son public en lui disant : J'ai envie de baiser... Qui veut me sauter!!! « Comme tu es sensuelle... Aguicheuse aussi. On entrevoit déjà ton coté salope » commente Clémence alors que l'action se déplace dans la bibliothèque. On voit la main de Julien très loin sous la robe d'Ophélie, tolérante et même facilitatrice en écartant nettement les cuisses pour donner plus d'aise aux manipulations de son voisin qui remonte la robe jusqu'à la taille afin de donner une meilleure vue à ses collègues et aussi montrer qu'il glisse deux doigts sous l'élastique du string.
    
    Ophélie se tasse dans le canapé, le visage maintenant cramoisi.
    
    Mais le pire est encore à venir.
    
    Les paroles des étudiants sont assassines.
    
    « Putain!!! Vous avez vu comme elle écarte les cuisses. Quelle sacrée cochonne! elle en veut! Oh, nom de dieu!»..... « En plus elle coule comme une fontaine ».
    
    Et les sons ne sont pas moins dérangeants, car Ophélie miaule, gémit et cris sous les assauts rugueux.
    
    Ophélie est prostrée, perturbée par ce qui se passe sur l'écran. Mais il y a plus inquiétant. « Oh mon dieu » pense-t-elle alors que des fourmillements envahissent ...
    ... son bas ventre. Elle déglutit difficilement face à cette révélation. Logiquement, elle ne devrait pas se sentir excitée, mais le corps d'Ophélie l'emporte unilatéralement sur son esprit rationnel. Elle est entièrement à sa merci.
    
    « Je ne suis pas exhibitionniste » réfléchit elle alors que le film à l'écran continue et qu'elle s'entend jouir comme une folle. « Uuuuuggghhh... ooooh....... aaaaaaaaah » et se voit s'agiter en tous sens, convulser, les yeux se retourner, puis ensuite se détendre, amorphe telle une poupée de chiffon.
    
    En catalepsie sur le divan, Ophélie voit défiler le spectacle de la soirée. Telle une statue figée, consternée par les images révélant une garce vicieuse et lubrique, abasourdie par la puissance de ses vocalises. Elle n'arrive pas à réaliser l'énormité de ce qu'elle a fait ou subi. Le film qui se déroule devant ses yeux relate un scénario digne d'un film pornographique avec de surcroit des scènes d'une perversité machiavéliques.
    
    Les souvenirs qu'elle avait gardé de cette soirée n'ont aucune mesure avec ce qu'elle entend et voit. Aussi, confrontée à l'infame réalité, son visage passe par toutes les nuance du rouge pour finir par une teinte cramoisie. Mais en se tortillant sur le canapé, elle perçoit une sensation particulière sous ses fesses. « Oh nooonnn! Pourquoi je mouille! » se dit elle affolée.
    
    « Pour résumer tu es une parfaite salope qui s'ignore, mais la bonne nouvelle est que cette personne me plait énormément au point que j'ai décidé ...
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