-
Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 11
Datte: 07/12/2025, Catégories: Contrôle Mental, Auteur: Walterego, Source: Literotica
... filles, montez sur le lit, je vais vous prendre en levrette » Il repoussa le déshabillé de Lucie jusque sur son dos, plaça son gland démesuré à l'entrée de l'orifice béant et luisant de la jeune femme et donna quelques petites poussées pour l'introduire en douceur. Mais même en douceur, Stéphanie se demandait comment une femme pouvait laisser pareil monstre les pénétrer sans être déchirée au passage surtout sans avoir enfanté auparavant. Gauthier commença à amplifier ses mouvements tandis que la jeune femme commençait à gémir au rythme des allées et venues du mandrin hypertrophié. « O Maître ... merci ... cela .. faisait ... si longtemps ... oooh ... je suis pleine ... mon ... aaah .. Maître ... c'est bon ...ooh ... allez-y ... oooh ...prenez-moi ... aaah ... je suis ... à aaah ...vous ! » Pendant ce temps, Catherine, affalée dans le fauteuil se caressait de plus en plus frénétiquement l'entre-jambes, oublieuse du sperme qui coulait de son menton sur ses seins. Dans l'embrasure de la porte entrebâillée, Stéphanie n'en pouvait plus. Ses seins perlaient du lait maternel dans son corset et son intimité la démangeait malgré son récent orgasme dans la piscine des mains de son amie. Elle fit glisser sa jupe légère au sol, bientôt suivie par son dessous et commença à se caresser en se mordant les lèvres pour ne pas miauler son plaisir aux oreilles des acteurs de la pièce torride à laquelle elle assistait. « AAAH .. MAÎTRE ... OUIII ! Gauthier avait ...
... empalé Lucie jusqu'à ce que les os de son bassin s'imbriquent dans ses fesses et éjaculait certainement son foutre tout au fond de la grotte d'amour de la jeune femme. Stéphanie avait enfoncé ses propres doigts dans son intimité mais, peu habituée à l'onanisme, ne parvenait pas à se mettre au diapason. Le Doué retira son sexe dégoulinant du vagin distendu de Lucie qui laissa échapper une effarante quantité de sperme. Sans perdre de sa redoutable érection, il se déplaça derrière Mariette et la pourfendit sans prendre aucune des précautions qu'il avait réservées à Lucie. « AAAH MAÎTRE ! AAAH ... VOUS ÊTES TROP GROOOS ! AAAH ... PITIE ! « Sorry .. humf... Mariette mais... plus je baise ... plus j'ai besoin ... humpf ... de me ... humpf ... soulager ... vite... humpf ! Trop attendu...» Dans le fauteuil, Catherine émit un son étranglé et coinça sa main entre ses cuisses tétanisées. Elle se remémora brièvement une scène identique quand Gauthier avait baisé ses sœurs pendant que leur mère se branlait dans le même fauteuil. « AAAAH ... TROP GROOOS ... OOOH... » glapit Mariette toujours défoncée par la bielle d'un Gauthier déchaîné. « ALORS JOUIS MA SOUMISE ! » beugla t'il « AAAARGH » Mariette se mit à trembler de tous ses membres, ne restant en position que par la grâce du pilori qui l'avait enclouée. Stéphanie, toujours occupée à fourrager sous sa jupe, était partagée entre l'envie absolue d'être à sa place et la peur de cette virilité qui ne pourrait que ravager ...