1. Des Basketteurs Merveilleux...


    Datte: 07/12/2025, Catégories: Sexe Interracial Auteur: Trixie01, Source: Literotica

    ... nous avais vus à la lingerie. Je te propose un deal, nous la baisons ensemble, elle est super... Je sais qu'elle adorerait ça, qu'on la prenne tous les deux, elle me l'a avoué! Tu l'appelles pour lui donner rendez-vous un soir, par exemple après un entraînement de basket, je crois que vous avez un local pour vos après-matches. Tu lui téléphones, pour lui fixer rendez-vous.
    
    — OK, si tu en es sur, c'est faisable, répondit Gérald, je te tiens au courant pour la date.
    
    Maxime lui dit, que ce n'est pas tout, ils discutent encore un moment, Gérald lui répond que c'est d'accord pour sa demande et qu'il essayerait de faire ainsi. Une fois Maxime partit, Gérald m'appelle au téléphone. Il m'explique que si c'est possible, il a envie de passer un long moment avec moi, un soir. Il s'entraîne deux fois par semaine le mardi et le jeudi, que les entraînements finissent à 21 heures et qu'ensuite, il est libre, je peux le rejoindre au gymnase, l'endroit est tranquille, il sera seul. Je lui réponds qu'effectivement c' est faisable, s'il veut jeudi prochain, car mon mari suite à son avancement s'absente souvent une semaine entière, je suis donc seule et libre le soir. Il me dit que c'est d'accord, on se donne donc rendez-vous au gymnase.
    
    — Tu mets ton porte-jarretelles, tes bas et ton soutien-gorge seins nus, j'adore. Pas besoin de mettre de string, c'est pour consommer de suite dit-il en riant.
    
    —Vos désirs, sont des ordres Monsieur, lui répondis-je sur le même ton!
    
    Le jeudi ...
    ... suivant, habillée d'un chemisier blanc déboutonné jusqu'à la naissance de mes seins, d'une jupe a carreaux noirs et blancs courte et assez moulante, on aperçoit les bosses des attaches de mon porte-jarretelles sous le tissu tendu, je pousse la porte du gymnase. Gérald m'attend discrètement dans le noir, il ferme la porte d'entrée à clef, et me conduit dans la salle de détente. Elle est vaste, bien éclairée. Il y a un assez long bar dans un coin, avec des tabourets hauts devant. Trois grandes tables avec des chaises, et dans un autre coin, trois fauteuils disposés face à face, un canapé fait aussi office de lit pour ceux qui ne peuvent plus renter lors des soirées où l'on arrose un peu trop les victoires. Les sièges profonds se trouvent autour d'une table basse. Maxime est assis dans un de ces fauteuils, un verre à la main. Je suis vraiment surprise de le trouver là, mon cœur se met à battre plus vite, j'ai compris. Je lui souris. Je m'assied sur le fauteuil en face de lui.
    
    — C'est un vrai traquenard... Je ne m'y attendais pas du tout!! Dis-je en faisant un clin d'œil à Maxime.
    
    Je croise mes jambes fines gainées de noir, ce qui fait remonter ma jupe assez haut sur mes cuisses en laissant apparaître une bande de peau blanche traversée par la lanière de mon porte-jarretelles, sur le côté de ma cuisse. Gérald lui apporte un verre.
    
    — J'espère que tu ne nous en voudras pas, pour cette combine.
    
    Je me met à rire en les regardant langoureusement l'un après l'autre.
    
    — Mais ...
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