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Lizzy Ch. 03 - Vive Les Vacances
Datte: 06/12/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: PerverPeper, Source: Literotica
... de pratique, tout ça, ma fille, railla Simone. Tu n'as qu'à les garder aux pieds. C'est en forgeant qu'on devient forgeron, paraît-il." Edwige s'efforça de rester stoïque, malgré la douleur que la cambrure des escar-pins imposait à ses pieds. "Maintenant, je serai curieuse de voir la robe. D'autant plus que nous ne pou-vons pas la laisser se pavaner ainsi comme la première putain venue. N'est-ce pas?" S'empourprant de plus belle, Giselle émit un rire de petite fille. "Bien entendu. Je pense que tu vas adorer," répondit-elle en détachant, comme à contre-cœur, ses yeux du corps sculptural exhibé devant elle. Elle se leva rapi-dement. "Ne sois pas déçue, ma fille. Je suis sûre que tu auras de nombreuses autres oc-casions de nous exposer tes charmes," plaisanta Simone. Giselle fit coulisser l'un des miroirs qui ornait un des meubles muraux et en tira une petite robe noire qu'elle présenta à bout de bras. Ses manches courtes, le col et l'ourlet du bas étaient garnis d'une petite dentelle blanche. Un sourire presque béat ornait son visage. "Reste à voir si c'est la bonne taille... ajouta-t-elle avec un soupçon de doute. - Cesse de douter pour un oui ou pour un non," rétorqua Simone avec une pointe d'agacement. Tu n'as plus quinze ans." Elle se leva et délesta son amie de la robe. "Elle est superbe Giselle, dit-elle en déposant un bref baiser sur ses lèvres. N'est-ce pas, ma fille?" Edwige sentit l'émotion la gagner. "Mais oui, Madame. Je suis ...
... sûre qu'elle est à la bonne taille! s'exclama-t-elle de sa voix la plus optimiste. - Alors qu'attends-tu, ma fille!" Le ton de Simone s'était durci et la robe pendait au bout de son bras tendu. Edwige s'en empara et la fit glisser sans aucun problème sur son corps. Le tissu, légèrement élastique, épousait parfaitement ses courbes. Elle pivota sur ses ta-lons qui mettaient ses mollets à rude épreuve et s'observa dans les miroirs répar-tis judicieusement autour d'elle. Les yeux de Madame ne la lâchaient pas et le sourire sincère qui s'était dessiné sur ses lèvres était tout autant charmant qu'inhabituel. "Tu vois? dit-elle à Giselle en caressant gentiment sa joue. Elle est ravie. Et je suis sûre qu'elle rêve de te prouver à quel point elle t'est reconnaissante, n'est-ce pas Edwige?" La jeune femme se figea. "Heu... Oui... Bien sûr, Madame. - Approche, ma fille." Incertaine, Edwige s'avança lentement. "À genoux." Le ton de Simone s'était fait cassant. Le bras appuyé sur l'épaule de Giselle, elle n'avait cessé d'effleurer délicatement sa joue avec son index. Son autre index était tendu, désignant les pieds de son amie. Edwige s'exécuta, soupirant intérieurement de bonheur à la disparition des crampes qui menaçaient ses mollets. "Embrasse-lui les pieds pour montrer ta gratitude." Les joues en feu, la jeune femme s'exécuta, ses mollets oubliés. Une chaleur, familière maintenant, s'empara de son bas-ventre. "N'oublie pas de t'assurer qu'elles ...