Fantasme Matinale De Soumise - Histoires de Sexe

Fantasme Matinale De Soumise

Je m'éveille doucement et ma première pensée est pour mon maître. Je sais que je ne le verrai pas aujourd'hui. C'est toujours difficile pour moi mais je dois l'accepter. Il en va ainsi vu ma condition et notre relation adultère.

Avant de me lever et d'attaquer cette nouvelle journée, je décide de laisser mon imagination vagabonder au gré de mes envies.

Je suis une soumise débutante, en cours d'éducation, qui s'est découverte sur le tard et j'aime ça.

Encore allongée dans mon lit, j'imagine que mon maître m'attend dans sa voiture au moment où je sors du travail. Il ne m'avait rien dit. Le simple fait de le voir au loin me réjouit mais me rend fébrile. Je le rejoins dans sa voiture, en laissant ma voiture sur le parking de mon travail, et avant même que j'ai pu déposer un chaste baiser sur sa joue, il démarre.

Il roule avec une idée bien précise de notre destination. Tout était planifié dans son esprit. Son regard est noir, celui que j'aime tant, celui de mon maitre. Nous n'échangeons pas un mot. Je me blottis contre son bras, profitant de ce moment de répit pour m'imprégner de lui.

Après quelques dizaines de minutes de route, il arrête la voiture devant une petite maisonnette très isolée. Il m'embrasse tendrement et m'attache mon collier.

J'entends enfin sa voix.

- Retires ta robe et viens me rejoindre!

Sans attendre de réponse, il sort de sa voiture et se dirige vers la porte d'entrée.

Je n'ai pas le temps de réfléchir, je sais qu'il me teste et ...

... que si je ne sors pas assez vite de cette voiture, il ne sera pas satisfait et je serai punie. Je me dévêts à la hâte et sors rapidement de la voiture.

Je suis un peu mal à l'aise en sous vêtement dehors mais j'essaie d'être digne pour le satisfaire. Je lui dois, il m'accepte comme soumise.

Je m'avance doucement vers le perron en essayant d'avoir une démarche des plus suggestive.

Il m'attend sans un sourire, je m'imagine qu'il n'est pas satisfait. Mais en m'agenouillant devant lui, j'aperçois une bosse qui déforme son entrejambe m'indiquant que ce qu'il vient de voir lui a plu ; ce qui me redonne espoir.

Il caresse ma joue et ouvre la porte. Il entre et retire son manteau. Les températures ne sont pas encore très chaudes en ce mois de mars. Moi, j'attends toujours à genoux devant la porte ouverte en petite tenue. Il se retourne est m'ordonne de rentrer... sans me lever.

Je m'exécute et il ferme la porte derrière moi. J'avance doucement, toujours à quatre pattes, les fesses bien relevées en dandinant légèrement. J'aimerai tant découvrir l'intérieur de ce lieu mais je dois garder le regard baissé. Je n'aperçois qu'une infime partie de l'intérieur, c'est cosy. Mais il me sort de ma contemplation en m'administrant une claque sur la fesse droite. Je dois serrer les dents pour ne pas crier. Puis une autre sur la fesse gauche. A mon grand étonnement cette sentence ne fait qu'amplifier mon excitation. En m'attrapant par les cheveux il m'emmène jusqu'au canapé dans lequel ...