Clara, Aide à Domicile - 02 - Histoires de Sexe

Clara, Aide à Domicile - 02

... diriger et rabaisser par Monsieur Bernier.

La source d'où sort le lait commence à se tarir.

-- Bon,on rentre à la maison!

Je marche derrière lui dans la cour, le sceau de lait à la main, la poitrine et le cul à l'air, Par respect, j'ai bien fait attention de baisser le devant de ma jupe sur mon sexe pour cacher sa pilosité.

Puis nous arrivons sur le seuil, il regarde ses bottes boueuses.

-- Tu as passé la serpillière, je ne vais comme même pas saloper ton travail dès le début de notre relation.

Je comprends ce que je dois faire. Je me débarrasse de mes baskets, pose le sceau de lait à côté de la porte et je me précipite dans la maison chercher une éponge et une bassine d'eau. Je reviens vers lui, je le regarde pour lui faire comprendre que je suis entièrement à son service.

Je pose la bassine sur le sol, je me positionne à quatre pattes à ses pieds, humidifie l'éponge et commence à nettoyer ses bottes en caoutchouc. Je le regarde encore une fois. Il éprouve du plaisir de me voir le cul à l'air, les seins pendant dans le vide entrain d'effectuer ma corvée, il est satisfait de mon comportement, c'est certain.

Mon nettoyage terminé, je me positionne sur les genoux, prends mes seins dans mes mains, je le fixe dans les ...

... yeux, je lui dis.

-- Monsieur Bernier, je suis heureuse d'être votre boniche.

Son visage est impassible, j'attends ses mots avec impatience, je veux qu'il m'accepte, qu'il m'en demande encore plus, je ferai tout se qu'il veut.

-- Rentre chez toi, Magne toi!

J'en voulais plus. Complétement frustrée et dans l'incompréhension, j'obéis. je me relève m'habille, je vais chercher mes affaires de ménages, les charge dans ma voiture. Puis je reviens vers lui pour lui dire en revoir.

-- En revoir Monsieur Bernier, à vendredi.

Me voyant avancer dans sa direction, il rentre dans sa maison, sans un mot, il claque la porte. Je viens de me prendre un gros vent.

Dépitée par sa réaction, je monte dans ma voiture et démarre.

Je me demande pourquoi il avait réagi comme ça. Avais-je fait quelques choses de mal, n'avais-je pas été à la hauteur.

Arrivant dans le bois, je n'en peux plus, excitée par ce que j'avais vécue, il faut que je me fasse jouir. J'éteins le moteur, descends de la voiture. Nue de sous-vêtements, j'ôte ma jupe et mon pull, je pose mon derrière sur le capot. Complètement à poil, les yeux fermés, je me masturbe en imaginant que je suis à genoux sur le seuil de la porte entrain de sucer Monsieur Bernier.

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