Libérée Délivrée Ch. 06 - Histoires de Sexe

Libérée Délivrée Ch. 06

6 - L'apprentissage continu

Attention, lechapitre 5 a été intitulé et publié sous le titre

Réception chez Florence et Gaétan.

Vers huit heures trente, Flore entendit frapper à sa porte. Prête en tenue de sport, elle attendait le passage de sa soumise ! Effectivement, Florence entra dès que sa Maîtresse lui en eut donné l'autorisation. La jeune femme baisa les pieds de sa dominatrice et se mit aussitôt nue, à genoux, les mains derrière la nuque, yeux baissés.

— Bonjour Florence, alors comment vas-tu après cette belle soirée que vous m'avez offerte?

— Très bien Madame, euh, Maîtresse. Gaétan et moi Vous remercions encore pour Votre visite et Vos cadeaux. Après le footing, ce sera une journée de repos avec les enfants.

— Rien d'autre à me dire?

Florence se mit à rougir avant de lui raconter la manière dont son mari l'avait baisée. Elle dût reconnaître qu'ils n'avaient pas fait l'amour mais baisé. Gaëtan avait profité du corps de sa femme. Il n'avait jamais connu une telle jouissance.

— Et tu as aimé, n'est ce pas? lui demanda sa maîtresse.

— Oui Maîtresse ! j'ai aimé, j'ai beaucoup aimé.

— Dis-moi précisément ce que tu as aimé !

— J'ai aimé qu'il me presse en levrette, qu'il me prenne juste pour son plaisir. J'ai aimé me sentir utilisée, Maîtresse.

— Et encore?

— Je me sentais un peu comme une chienne, comme si j'étais à quatre pattes... et je n'ai pas détesté...

— Mais c'est parfait tout cela, je vois que tu commences à habiter ton ...

... statut de soumise ! Je dois t'avouer que tu m'étonnes ! En une semaine tu as franchi tant d'étapes !... Tu étais prête n'est-ce pas?

— Oui, Maîtresse, je Vous avoue que je me sens bien sous votre férule.

Flore n'en attendait pas plus ! Elle était très heureuse d'avoir enfin pu commencer à réaliser son projet : vivre la domination au quotidien. Elle se rendait compte que Florence et son mari pouvaient lui convenir et lui permettre d'atteindre cet objectif depuis si longtemps formulé au fond d'elle-même.

— Puisque tu apprécies d'être considérée comme un petite chienne, mets-toi à quatre pattes et fais le tour de mon salon ! Hop !

Florence fut plutôt abasourdie par cet ordre mais, sans réfléchir plus avant, elle se mit effectivement à quatre pattes et fit le tour du salon, la tête basse. En marchant elle prenait conscience de ce qu'elle était en train de faire, sans savoir si elle faisait bien. Mais Flore allait reprendre la main :

— Florence, je te félicite une fois de plus et je suis très fière de toi ! Beaucoup de Maîtresses aimeraient avoir une soumise comme toi. Je saurai te récompenser. Est-ce que tu me fais vraiment confiance?

— Oui, Maîtresse, je Vous remercie, déclara Florence avec un sentiment de soulagement. Les paroles et le ton de Flore avaient fait disparaître le sentiment d'hésitation qui s'était fait jour au cours de la déambulation dans le salon.

— Allez, il est temps de sortir faire notre jogging pour perdre quelques grammes après ce festin ...