Le Second Découvert d'Aphrodite - Histoires de Sexe

Le Second Découvert d'Aphrodite

... il paraissait évident que la déesse ne laisserait pas trop le choix en ce qui concernait un avortement. Alors Louise se laissa caresser le visage par Elisa. Elle se laissa caresser le cou, elle se laissa caresser le ventre ainsi que la poitrine, à travers le tissu de son pull et de son maillot de corps. Elle ne protesta pas quand la petite banquière lui retira le haut, elle ne protesta pas quand la petite banquière lui embrassa le cou, puis la bouche. Elle n'était pas convaincue du fait que cette blondinette d'à peine deux ans de plus qu'elle allait pouvoir l'aider dans les mois et dans les années à venir mais elle était absolument certaine de ne pas avoir de meilleure alternative. Alors elle se laissa faire, sans en éprouver un réel déplaisir mais sans ressentir non plus une passion débordante. Elle aurait pu, dans un autre contexte, tomber sous le charme d'Elisa mais sur le moment, elle était trop inquiète pour se laisser engloutir par le romantisme et la passion charnelle. Non, ce qu'elle devait faire, c'était assurer son propre avenir afin d'assurer l'avenir de cette enfant à venir et qu'elle était en train d'accepter doucement. Alors elle s'allongea sur son canapé-lit, tira sa nouvelle compagne vers elle et commença à déboutonner le chemisier de cette dernière.

-Tu n'es pas seule, Louise. Je suis là pour toi, pour notre bébé.

Les jambes de la blonde s'enroulèrent autour de celles de la rousse qui ne savait pas trop quoi répondre. Au final, elle garda le silence ...

... et embrassa sa conquête avec toute la passion qu'elle put trouver en elle.

-Tu peux me faire confiance, Louise. Je vais gérer.

Et les mains de la blonde s'agrippèrent aux cuisses de la rousse avant de remonter doucement au niveau de l'entrejambes.

-Va... Vas-y.

Louise n'avais rien trouvé d'autre à dire et forcément, en face, l'autre fille obéît et y alla. En l'occurrence, avec les doigts. Pendant que les lèvres s'attardaient sur le cou de l'ouvrière, le pouce commençait à dessiner des cercles autour de la partie émergée de son clitoris. La rouquine ne pouvait pas dire que tout cela lui était désagréable, bien loin de là, mais elle n'arrivait pas totalement à s'abandonner. Elle se sentait obligé de mettre tout ce qui lui arrivait en perspective. Pour le moment, tout allait bien, Elisa prenait son pied -- et le reste -- et faisait toutes sorte promesses mais tout cela allait-il tenir à moyen et à long terme? Au moins, au niveau du doigté, la banquière faisait preuve d'une certaine endurance : elle avait abandonné les mouvements du pouce au profit de ceux combinés du majeur et de l'index, dans un mouvement quelques différent du premier mais d'une intensité indiscutable. Au début, Louise lutta, pour ne pas apprécier, pour ne pas jouir mais elle réalisa que cela n'avait aucun sens. Prendre son plaisir comme il venait, là, sur le moment, ne l'empêcherait pas plus tard de garder l'esprit assez attentif pour ne pas tomber tête baissée dans le piège des promesses trop ...