Le Club Sans Tabou (1)
Datte: 25/09/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: Milise06, Source: Xstory
... limite. Sa caresse humide et chaude recommence le même manège sur mon autre cuisse, remontant jusqu’à la boursouflure de mes lèvres et s’y attardant avec patience. Trop de patience. Le salop a décidé de me rendre folle et c’est réussi.
J’avance alors discrètement mon bassin afin de venir m’écraser contre sa bouche pulpeuse. Répondant à l’appel, Henri se décide finalement à assouvir mes besoins et laisse glisser sa langue dans mon sillon. Elle se promène avec allégresse autour de mon clitoris, léchant avidement mon sexe. Il me prend à pleine bouche, suce et mordille mon intimité, se régalant des gémissements qu’il fait naître en moi et m’écarte les cuisses au maximum. Je m’accroche à ses cheveux, l’empêchant de quitter l’intérieur de mes jambes. Ainsi motivé, je sens sa langue devenir plus entreprenante encore. D’une main il m’écarte les lèvres, de l’autre il se branle comme un diable. Je devine sa verge tendue, plus dure que jamais, et savoir qu’elle sera bientôt en moi me fait pratiquement atteindre l’orgasme. Tandis que je m’imagine son chibre pénétrer ma vulve, je ne peux réprimer un sursaut en sentant sa langue s’insinuer brutalement en moi.
Henri me baise littéralement avec sa bouche, faisant des va-et-vient constants avec sa langue et me branlant le clito de sa main libre avant de rejoindre l’entrée de ma grotte. Il alterne alors entre la pénétration de ses doigts et de sa langue. Il me doigte d’abord de l’index, jouant avec mes nerfs comme bon lui semble. Puis ...
... le majeur finit par le rejoindre. Sa langue continue inlassablement sa course folle, rentrant dans mon intimité quand la voie est libre, dansant avec mon clitoris que je suis remplie. Les trois doigts en deviennent finalement quatre. Je suis écartelée, je gémis, je me tortille sous cette douce torture.
Au bord de l’extase, je parviens dans un effort surhumain à le repousser afin de m’occuper de lui à son tour, renonçant au grand final pour le moment. Je le jette en arrière, me saisis sauvagement de son membre dressé fièrement et sans cacher mon plaisir, le prends à pleine bouche. Sentir ce braquemart continuer de se raidir au-delà de l’impensable entre mes lèvres me repousse dans mes limites. J’accentue mes caresses, augmente mes va-et-vient et vais jusqu’à écraser mon nez contre ses poils. Je sens sa queue rejoindre le fond de ma gorge, lutte contre l’étouffement et recommence encore et encore, encouragée par les halètements de mon homme. Il souffle comme une bête, me saisit la tête, me force à gober son membre encore et encore de plus en plus violemment et rapidement avant de hurler presque incompréhensiblement.
— Je n’en peux plus, je te veux Lydia !
A ses mots, il me repousse, arrache sans vergogne mon soutien-gorge, libérant mes belles pêches de leur écrin. Il s’en saisit, les malaxe, les lèche avec violence et avidité... il vient me mordiller le téton avec passion avant de me retourner dans un mouvement brutal. Me retrouvant à quatre pattes par la force des ...