1. une soirée avec un ami de mon mari


    Datte: 28/11/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Stark31, Source: Hds

    Pourquoi je ne dis jamais "non" à mon mari pour tout ce qui touche au plaisir, je ne le sais pas moi-même. Peut-être parce que j'aime trop le frisson de l’interdit, la montée d’adrénaline qui précède ces moments où tout bascule. Cela fait une semaine qu'il m’envoie des messages torrides, ponctués de vidéos explicites, toutes centrées sur un même fantasme : l’art délicat d’une bouche gourmande autour d’un sexe dressé.
    
    Ce soir, nous avons un invité. Régis, un ami d’enfance de Pierre, mon mari. Je ne l’ai vu qu’une seule fois, il y a plus de quinze ans, et pourtant, ce soir, il est là, assis à notre table, son regard effleurant ma silhouette d’un air à la fois curieux et admiratif. Je sais ce que je représente à cet instant. Une femme mûre, sûre d’elle, habillée avec juste ce qu’il faut de provocation. Une jupe noire révélant le sommet de mes bas autofixants, un chemisier blanc légèrement entrouvert, des talons qui affinent ma silhouette.
    
    L’apéritif se prolonge, les verres se vident, l’ambiance se détend. Je les écoute rire, se remémorer leurs souvenirs d’adolescence, et sans même m’en rendre compte, je me laisse emporter par cette énergie masculine, ce jeu subtil de regards et de sous-entendus. Je sens la chaleur monter en moi, cette envie diffuse, cette électricité qui s’intensifie sous la table, entre mes cuisses déjà humides.
    
    Pierre capte immédiatement mon trouble. Il se lève, m’attire discrètement dans l’entrée et me glisse à l’oreille, son souffle chaud ...
    ... effleurant ma peau :
    
    — Dans pas longtemps, tu vas le sucer devant moi.
    
    Mon cœur rate un battement. Il retourne dans le salon, me laissant seule avec cette proposition qui me transperce de désir. Une vague de chaleur me submerge. L’idée de m’agenouiller entre les jambes d’un autre, sous le regard attentif de mon mari, me consume lentement.
    
    Je sors sur la terrasse, le besoin d’air plus vital que jamais. Mon téléphone vibre. Un message. Un lien. Pierre a encore frappé. J’ouvre la vidéo, une scène explicite où une femme exécute avec une lenteur exquise ce que j’ai toujours aimé faire, sucer une bonne queue bien dure et juteuse à souhait . Mon corps réagit immédiatement, mon bas-ventre se contracte, mon souffle s’accélère. L’envie est là, elle me submerge.
    
    Pierre me rejoint, une cigarette entre les doigts. Il plonge son regard dans le mien, devine mon trouble, en joue.
    
    — C’est ce que tu veux ? Tu veux me voir en train de le sucer ?
    
    Je déglutis, mes joues brûlantes sous l’aveu à peine voilé.
    
    — Oui, dit-il dans un murmure fiévreux.
    
    Il glisse une main sous ma jupe, frôle du bout des doigts l’évidence de mon désir.
    
    — Tu es trempée…
    
    Nous retournons à l’intérieur, l’atmosphère entre nous a changé, elle est lourde, dense. Pierre reprend la conversation avec Régis comme si de rien n’était, tandis que moi, je sens mon corps vibrer d’anticipation.
    
    — Excuse-moi, Régis, mais je vais te poser une question très personnelle, commence Pierre, un sourire en coin.
    
    — Bien ...
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