Christelle Chapitre 16 - Histoires de Sexe

Christelle Chapitre 16

... pro sont faibles, un atout caché peut faire pencher la balance en ta faveur pour le poste Christelle... »

Elle le regarda s'approcher avec anxiété : « Je ne comprends pas ! »

Des larmes apparurent au coin de ses yeux et elle baissa la tête : « Je suis désolée ! Je suis désolée ! »

Il lui caressa la joue et lui releva la tête en soulevant doucement le menton et en chuchotant : « Ne pleure pas belle Christelle... Tu es une femme très attirante et ce peut être un très grand atout dans une négociation... »

Il marqua un arrêt et passa derrière elle pour lui murmurer dans l'oreille : « Je voulais simplement te faire comprendre que tu n'es pas l'employée que la direction compte choisir... Mais ils suivront mon choix... Cette histoire de CV est nulle... Je pense que tu es faite pour le commerce... »

Tout en parlant il retira un bouton du chemisier. Elle repoussa sa main aussitôt et se retourna vers lui en criant : « Non ! S'il vous plaît ! »

Il repassa devant elle et s'assit sur le bureau : « Tu serais quand même prête à certaines choses pour avoir un contrat ! Non ?!... »

Elle mordilla sa lèvre inférieure : « Euh... Je ne sais pas. Quoi par exemple ? »

Il regarda la femme assise devant lui. Elle subissait la situation : Elle ne lui tenait pas tête et ne partait pas non plus. Petite blonde pulpeuse habillée en jupe moulante noire mi cuisse, chemisier cintré qui écrasait la poitrine, bas dim-up et escarpins. Elle le faisait bander comme un fou depuis la ...

... première fois qu'il l'avait vue. Elle avait peut-être un peu l'allure d'une petite secrétaire ou d'une femme d'affaires ou même d'une bourge un peu coincée mais, en tout cas, l'allure d'une salope à baiser. Elle semblait perdue à ce moment mais, en rentrant dans le bureau au début, elle avait le regard et l'attitude d'une pétasse sûre de son pouvoir de séduction et il avait envie de lui faire payer. Il réfréna ses envies pour répondre d'une voix mielleuse : « Il y a plusieurs choses... Par exemple les boutons de ton chemisier. Tu ne laisses que deux boutons ouverts... Tu veux paraître prude, sans décolleté, alors que ton chemisier est tellement serré qu'on voit la dentelle dessous... Et aussi entre le tissu étiré par les boutons au niveau de la poitrine ! On voit encore plus ta poitrine qu'avec un décolleté ! C'est vicieux ça madame ! C'est pour ça qu'il ne faut pas faire l'effarouchée !»

Christelle rougit aussitôt et porta machinalement les yeux sur sa poitrine en se pinçant les lèvres. Laurent vit qu'il l'avait touchée. Il poursuivit : « Avec le bouton que j'ai ouvert on voit la naissance de tes seins. Ne pourrais-tu pas faire un effort en déboutonnant un autre bouton pour avoir un décolleté convenable ? »

Elle regarda sa poitrine, hésitante. Laurent insista : « On se met en situation sur une négociation de contrat ! Il ne faut pas réfléchir ! Fais le ! »

Elle déboutonna un nouveau bouton et le chemisier s'étira au col pour laisser apparaître clairement le sillon mammaire ...