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Chute d'une héritière Ch. 03
Datte: 23/11/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Icare58, Source: Literotica
... homme qu'elle ne connait pas. Ses grande et petites lèvres s'ouvrent. La fraicheur de la brise dans son entre-cuisse caresse son clitoris. La pointe descend doucement sur son pubis, trace son chemin dans sa toison blonde. Elle griffe son clitoris, le taquine. Ses cuisses tremblent, une chaleur sournoise l'envahit. Sa chair intime se mouille. Elle ne comprend pas la soumission de son corps à cette torture humiliante. Manon veut lutter et détourner la tête pour éviter le regard de cet homme. Comment aurait-elle, pu imaginer, il y a encore quelques jours, alors qu'elle était une étudiante de vingt ans en faculté de droit, de la bourgeoisie provinciale, se retrouver un jour enchainée nue sur le plateau d'un camion les cuisses écartées? Obligée d'exposer sa vulve, tout comme la fait sa mère, face à cet inconnu. L'homme n'insiste pas, il retire sa pointe il sourit, il pense avoir découvert les secrets que cache Manon. L'homme avec un air de satisfaction s'adresse aux deux garde chiourme. — Deux belles femelles !!!! Les poitrines sont bien formées, les tailles sont fines, les ventres bien plats, et de belles cuisses, il n'y a rien à redire. L'institut a fait de belles acquisitions, du premier choix, des beautés naturelles et en plus harmonieuses !!!!! Ils échangent des accolades, les deux gardiens remontent dans le camion et démarrent. L'homme reprend sa marche comme si de rien n'était. Le camion trace sa route sinueuse à travers les prairies. Au détour ...
... d'un virage sur une butte se dresse un monolithe géant, cubique, austère, aux contours tranchants comme les arêtes d'un ancien mystère. Trente mètres de haut, sur plusieurs centaines de mètres de long de béton gris, impénétrable, il défie le ciel sans sourcilier. Aucune ouverture ne perce sa surface, aucune lumière de s'échappe de ses entrailles. Le bâtiment est sinistre, imposant, gardien de ses propres secret, aucune habitation aux alentours. Le camion arrive au pied de l'édifice, stationne quelques minutes devant une grande porte métallique à deux bâtant de couleur grise, deux caméras scrutent l'accès. Aucune présence humaine pour ouvrir les portes de leur futur lieu de châtiment et de dressage. Plusieurs claquements de serrures, les deux battants s'ouvrent, coulissent lentement à l'intérieur de chaque mur. Pour Clara et Manon débute, la sensation d'être engloutie, broyées par une machine impitoyable. Fragiles et vulnérables, elles se retrouvent prisonnières d'un tourbillon de peur. Aucun issues aucune échappatoire face à l'implacable destin qui va dicter leur sort. Le camion s'engouffre sous le porche le bruit du moteur résonne. Les portes se referment dans un vacarme assourdissant de métal, de sirène et d'éclats orange de gyrophare. L'intérieur est violement éclairé, les murs sont peints couleur gris bleu. En face, une grande porte métallique à deux battants condamne l'autre accès. A droite un local avec une baie vitrée donne sur le porche, et derrière un ...