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Chute d'une héritière Ch. 03
Datte: 23/11/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Icare58, Source: Literotica
... siffle la fin de la partie. — Yep !!!! On arrête, on a un horaire de livraison à respecter !!!! A regret, les hommes cessent leur palpation. Ils ont estimé la fermeté des chairs de ces deux femelles à loisir. Ils décrochent les longes et les force à les suivre. Si Clara et Manon n'avaient pas été dans cette situation, elles auraient pu découvrir l'autre façade du bâtiment sur plusieurs niveaux. Celle-ci est austère avec de grande fenêtre anonyme. Tout comme à leur arrivée, le bruit de la brise se fait entendre dans la structure. Elles ont du mal à marcher pieds nus sur les gravillons. A proximité, un bosquet de cèdres centenaires se dresse fièrement, dans un magnifique ciel bleu, des oiseaux piaillent. A perte de vue, un paysage bucolique de collines verdoyantes et arborées. La porte-guichet : un seuil de passage entre deux mondes, d'un côté la lumière et la liberté, de l'autre, obscurité et l'inconnu pour Clara et Manon. Clara, dans un éclair de lucidité, se demande combien de femmes nues, découvrant leur asservissement ont franchi cette porte-guichet avant elle. Elles frissonnent sous la caresse du vent, leurs corps nus se couvrent de chair de poule. Un fourgon à plateau sans ridelle attend, prêt à partir vers une destination inconnue. Leurs geôliers tirent leur longe pour les faire avancer au pieds du véhicule. Les poignets menottés devant elle, une chaine les relie à celle de leurs chevilles limite leurs pas. Un escabeau les aide à monter ...
... sans effort sur le plateau. Au centre deux bancs en bois sur toute la longueur fixé au plancher avec au milieu un dossier. Clara reconnait comme une sorte de camion militaire utilisé pour le transport des soldats. Elles sont placées dos à dos, la chaine qui relie leurs chevilles bloquées par à un mousqueton scellé au plancher. Ils détachent leurs menottes, refixent leurs poignets dans leur dos avec toujours cette fameuse chaine qui relie leurs poignets à leurs chevilles. Elles doivent s'installer sur le banc, la chaine centrale est trop courte, Clara et Manon sont obligées de s'assoir dessus, elles subissent l'inconfort de cette chaine, qui martyrise leur entrecuisse, leur vulve. Les bras dans leur dos sont également tendus par une chaine qui est reliée à un anneau fiché dans le plancher. Ils s'affairent autour d'elles, pour bien les arrimer pour le transport, comme de vulgaires marchandises. Les bruits de chaines et leurs paroles avilissantes à leur sujet augmentent la sensation de déshumanisation, d'impuissance et préfigurent la cruauté de l'asservissement qui se prépare. Pour Clara, petit à petit, son esprit s'enfonce dans une sorte de brouillard. Le supplice de la chaine et sa présence nue avec sa fille sur ce camion-plateau, enchainées, un bâillon-boule dans la bouche, l'entraine dans une sorte d'abnégation, lui enlevant toute volonté de lutter, de se rebeller. Les deux gardiens après avoir remis les deux dossiers au chauffeur prennent congé. Le camion ...