1. Ma Vie de Femme Retrouvée (Acte 11)


    Datte: 22/11/2025, Catégories: Accouplements Erotiques, Auteur: Luceloi, Source: Literotica

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    A notre retour, Jean est déjà actif aux fourneaux, c'est un bon cuistot. Après lui avoir fait un petit câlin, Agnès et moi nous dirigeons vers la salle de bain, prétextant qu'après notre pseudo entraînement au club, les douches et les vestiaires étaient trop encombrés et sommes donc rentrées sans ablutions.
    
    Toutes les deux, sous la douche, nous passons par tous les états d'âme. Du rire en se remémorant les heures précédentes avec Rocco, du sérieux en s'effleurant mutuellement nos parties sensibles et encore tuméfiées, aux soupirs, en ravivant nos désirs jamais totalement assouvis.
    
    La porte laissée entrouverte, v'là notre Jean, abandonnant ses casseroles, qui ramène sa fraise, mais pas avec la bite à la main, mais avec un caméscope. Ah le coquin!!!
    
    Je connais plein de femmes qui auraient crié au scandale, mais nous, les deux petites salopes de service, avons, d'un clin d'œil, décidé de jouer le jeu et d'ignorer la caméra et l'opérateur, de continuer notre « singing in the rain », voire en rajouter.
    
    Ça démarre par un interminable, tendre, voluptueux et savoureux baiser, collées, enlacées l'une à l'autre, sous un orage d'eau tiède. Nous dégoulinons de toute part. Entre mes cuisses, un liquide visqueux ruisselle, et croyez-moi, ça ne vient pas du plafond. Agnès me chauffe le ventre comme personne. Je pensais que Rocco m'avait asséchée, calmée, mais les braises restantes viennent d'être ravivée par ma tendre Agnès. Je me sens ...
    ... terriblement gouine à cet instant.
    
    Savonnées de partout, nos deux corps s'effleurent, se frottent, se caressent, s'excitent, s'offrent, se donnent.
    
    Nos mains se cherchent, se trouvent, passant des seins à la vulve en évitant surtout pas le sphincter, partie particulièrement sensible à toutes les deux. Notre vidéaste, vous le devinez, bande à faire craquer les coutures de son pantalon. Régulièrement, pour jouer le jeu des stars de Hollywood, devant l'objectif, nous pivotons sur nous-mêmes, offrant tantôt le côté pile, tantôt le côté face.
    
    Nos seins se tutoient, se titillent, s'entrechoquent, s'excitent. Nos quatre tétons sont durs et en se télescopant nous envoient de puissantes décharges électriques allant jusqu'au creux des reins. C'est de la pure folie. Nous sommes dingues l'une de l'autre. Jamais je n'aurais pensé tomber amoureuse d'une femme et de la désirer autant.
    
    Prises à notre propre jeu, nos caresses deviennent masturbation et toutes les deux, jambes écartées, les doigts dans la vulve nous nous tipotons le clitoris à en perdre haleine. Laquelle de nous deux jouira la première.
    
    Nos corps ondulent comme des lianes, nos respirations deviennent courtes, plus rapides, plus bruyantes. De vraies décharges d'adrénaline me parcourent le corps, mes genoux tremblent et me lâchent, et mon Agnès continue de fourrer mon vagin de ses doigts habiles. C'est une pianiste, une virtuose, le Chopin du doigtage. Dans un dernier râle, mon sexe s'ouvre comme une fleur et déverse un ...
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