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Etre étudiant et libertine 12 - Avec les parents de ma copine 2/3
Datte: 22/11/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: John62, Source: Hds
... tourne vers lui ses lèvres sur les miennes. — Pourquoi je suis un minet ?... C'est assez simple. D'abord parce que la nature ne m'a pas doté d'un corps de déménageur. On pouffe de rire ensemble. Ensuite un homme a été le premier à m'initier, j'aurais pu devenir gay heureusement ma tante m'a fait découvrir l'amour et m'a converti des mes 19 ans à la bi-sexualité. Un trans m'a amené à me travestir... et Mélina sait être mon homme comme elle dit. Il me fait face, sa chemise largement ouverte, il prend ma main et la pose sur sa poitrine velue comme un mouton, je caresse ses pectoraux touche la musculature frôle ses tétons. A nouveau nos lèvres se touche. Sa main force le passage de la ceinture, s'insinue dans ma culotte, se crispe sur ma fesse nue, l'autre ouvre ma chemise couvre ma poitrine de fillette comme dit Mélina, et me pince violemment un téton. Sous l'effet de la surprise et de la douleur j'étouffe un gémissement. Il grogne « Il est tout gros, tu as l'habitude qu'on te tripote, il me pince encore, tu aimes l'amour avec les hommes ? » Ouiii ! Que je réponds dans un souffle. La conversation devient un faible murmure, on se caresse mutuellement la poitrine. Depuis un moment, sous la douleur ou le plaisir, je m'abandonne la tête sur le dossier, les yeux fermés. Il me relève le crâne en susurrant « Regarde ! » Je découvre les deux femmes enlacées à demi-nues et Mélina accrochée au cou de Georges. Il lui a relevé la robe et la tient contre lui par les fesses ...
... alors qu'elle se balance de gauche à droite — Tu la vois avec Jo ? — Uiiii — Tu aimes quand elle est avec un autre homme ? — Uiiii ! que je soupire sous ses caresses, sans vraiment contrôler ma réponse. — Laisse-toi faire. Il détache ma ceinture et je l'aide à me déshabiller en me soulevant pour glisser mon bermuda sous mes fesses, ma chemise est déjà largement ouverte découvrant mon corps aux allures de fillette. Il respire fort, me couvre de bisous en murmurant. Tu sais que tu me plais, j'aime ta peau douce. En même temps sa main se fraie un chemin au creux de mes fesses et atteint mon petit trou, mon cœur bat fort, ma respiration s'accélère. Il abaisse mon shorty de satin gris... Tu vas voir on va faire de belles choses ensemble. Je ne résiste pas quand il me tire à genoux face à lui, j'abandonne tous mes vêtements froissés. Son pantalon ouvert découvre une épaisse broussaille noire au milieu de laquelle s'élève une colonne de chair épaisse et sombre qu'il tient des cinq doigts... La pointe décalottée luit d'un rouge carmin dans la pénombre. Je le prends en bouche sans hésiter, mes lèvres enveloppent avec douceur le membre puis avec une pression croissante quand ma langue tournoie sur le gland ou taquine le frein. Il me tient par le sommet du crâne, il force le passage et s'enfonce jusqu'à la glotte. Ma salive coule, mes yeux pleurent, je manque d'air, ma gorge se contracte, je le repousse brutalement, respire un instant et l'avale de nouveau avant de ...