Chez Nos Grands-Parents Ch. 02 - Histoires de Sexe

Chez Nos Grands-Parents Ch. 02

... belle, et commence à caresser doucement ses fesses.

Chloé, s'assoit sur le plan de travail, écartant les jambes pour ma mère. Sans se faire prier, elle lui arrive entre les cuisses et commence à lécher avidement son sexe humide. Ma sœur gémit de plaisir, ses mains agrippant fermement les cheveux de ma mère pendant qu'elle se fait elle-même lécher par la sienne.

Leur doigts s'enfoncent dans chaque orifice, provoquant des gémissements de plus en plus intenses. La température dans la pièce monte rapidement, remplissant l'air d'une tension sexuelle palpable.

Ma mère dévore sa fille enceinte, et elle est maintenant rejoint par sa mère. Chloé se fait maintenant lécher par sa mère et sa grand-mère. Elle tourne discrètement sa tête vers la fenêtre pour me regarder.

Je ne tiens plus, je me branle littéralement sans le cacher à ma sœur. Mes geste sont rapides, et dans un dernier mouvement, je libère mon désir sur les fleurs, mes gémissements se mêlant à ceux de ma mère et ma grand-mère. L'orgasme m'envahit et je m'effondre sur le sol.

Reprenant lentement mon souffle, allongé sur le sol, je me suis senti submergé par un flot d'émotions contradictoires. La réalité de ce que j'avais vu, et de mes propres actions, commençait à s'ancrer en moi. Une sensation de honte s'entremêlait avec un sentiment inexpliqué de libération.

Je me suis relevé lentement, le corps encore tremblant de l'expérience intense que je venais de vivre. En regardant autour de moi, les fleurs ...

... souillées de mon désir, je me suis senti à la fois vidé et éveillé à une nouvelle réalité.

Avec des pas incertains, j'ai quitté le jardin pour retourner sur la terrasse. En m'approchant, j'ai remarqué le regard inquisiteur de Camille. Ses yeux semblaient poser une question silencieuse, se demandant où j'étais allé. Il y avait une sorte d'intuition dans son regard, comme si elle percevait que quelque chose avait changé chez moi.

Je me suis joint à eux, essayant de masquer mon trouble intérieur. Mon père et mon grand-père semblaient détendus, profitant de la douceur de la soirée. Ils n'avaient aucune idée de ce que j'avais découvert, de la scène à laquelle j'avais assisté depuis la fenêtre de la cuisine.

Je répondis distraitement à leurs questions banales, mon esprit encore tourmenté par les images et les sons qui me hantaient. Camille, cependant, ne me quittait pas des yeux. Son regard était empreint de curiosité, et je pouvais sentir qu'elle brûlait d'envie de me questionner.

Peu de temps après, Chloé est revenue à la table, reprenant sa place à côté de moi. Ses cheveux étaient légèrement ébouriffés, témoignant d'une précipitation ou d'une activité intense. Son souffle était encore court, ses joues légèrement rougies, comme si elle venait de courir ou d'être prise dans un tourbillon d'émotions.

Elle évitait mon regard, se concentrant sur le réajustement de sa tenue. Il y avait une certaine nervosité dans ses gestes, une tentative de retrouver une apparence de ...