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Au fil de l'eau
Datte: 21/11/2025, Catégories: #confession, #adultère, fh, revede, Masturbation Oral pénétratio, Auteur: Lilou83var, Source: Revebebe
« J’ai envie de baiser ! » J’avais entendu la sonnerie de mon portable retentir un peu plus tôt ce matin alors que nous étions tous en train de parler. Je me demandais qui avait bien pu m’écrire aussi tôt le matin, mais je n’avais rien fait pour en savoir davantage, trop occupée à te dévorer du regard, espérant aussi que personne ne remarque à quel point je suis attirée par toi. Tu sais, je compte les jours depuis la dernière fois où nous avons baisé dans ma voiture, j’essaie de penser à autre chose, je le fais, mais tu reviens toujours. Je suis tourmentée, je sens que lutter n’a plus aucun sens, car j’ai perdu la bataille depuis longtemps. Ce jour-là, nous avions marché pendant plusieurs minutes à la recherche d’un endroit calme à l’abri des regards dans le plan nature. Je te suivais aveuglément, regardant chaque partie de ton anatomie, avide de désir, je n’avais qu’une envie : te sauter dessus. J’étais subjuguée autant par ton physique que par le son de ta voix. Je crois que je peux dire que j’étais totalement sous ton charme. Ce qui est surprenant c’est cette dualité extrême entre l’envie de toi qui me rend folle et mon calme apparent qui fait que je n’ose rien, je me contrôle. Un mot de ta part me libérerait et là plus rien ne pourrait m’arrêter. Nous avions marché en vain à la recherche de cet endroit parfait, mais ne trouvant rien, nous avons regagné ma voiture. J’étais désespérée, j’avais tellement envie de toi que je me sentais frustrée de ne pas pouvoir ...
... baiser, frustrée et déçue. Emmanuel, qu’as-tu fait de moi ? Je ne suis plus bonne à rien quand tu es là, je ne suis plus bonne à rien quand je te vois. S’il te plaît, ne joue pas avec moi, j’ai déjà trop souffert. Je fais semblant de rien, je ne tiens pas un rôle, je suis entière depuis le début. Comment vais-je pouvoir me contenir ? J’ai envie de toi. Contre toute attente, on est monté à l’arrière de ma voiture rabattant les sièges avant. Je pensais que je ne pourrais que te sucer, car du premier abord c’est improbable de faire autre chose tant l’habitacle ne peut permettre des ébats surtout avec un homme aussi grand, aussi imposant que toi. Ce n’est pas grave… je m’en contenterai. J’adore le goût de ta queue, j’adore la sentir grossir dans ma bouche, j’adore y coller ma langue. J’aime l’enfoncer au fond de ma gorge, la sentir contre mes amygdales, l’avaler à en vomir. Pendant plusieurs minutes, je me suis appliquée à te sucer aussi goulûment que j’avais envie de toi, malgré la chaleur, mais n’y tenant plus, et poussée par la force du désir que tu avais fait naître en moi, attisée par la situation qui m’excitait, j’ai enlevé mon caleçon et je me suis empalée sur toi. Dieu que c’est bon de te sentir en moi ! je voudrais que cet instant ne s’arrête jamais. J’ai chaud, je ne sais plus où je suis, je ne sais plus rien, je n’ai de volonté que pour bouger encore davantage mon bassin pour que tu t’enfonces encore plus au fond de moi. Te sentir contre moi, pouvoir poser mes mains ...