1. De Mari à Esclave Ch. 22


    Datte: 21/11/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: mikulica, Source: Literotica

    ... tous les plaisirs. Lorsque sa langue entre en contact avec la soie, le premier flash inonde la pièce tel un éclair. Il restera des preuves de ces actions. Peut-être seront-ils nombreux ceux qui le verront ainsi attaché.
    
    Au bout de quelques minutes de ce traitement, et après de nombreuses photos, sa langue commence à se faire douloureusement sentir. Mais il sent la respiration de Maitresse Jennifer s'accélérer. Le bout de tissu est maintenant trempé, tant par les sécrétions féminines de celle qui me surplombe que par sa salive. Natacha tire sur le tissu pour le laisser enfin accéder à la chair brûlante du sexe de Maitresse Jennifer. Robert envoie sa langue joué avec le bouton de Maitresse Jennifer, puis pénètre ce sexe qui l'aspire. Une dernière photo prise par-dessous, entre les fesses de Maitresse Jennifer, et Natacha s'éloigne.
    
    Natacha revins dit a robert de lever les bras ensuite l'attache, avec un palan électrique il se sent se soulever au bout des orteils.
    
    Natacha nue passe sous lui à quatre pattes et entreprend de lui faire une torride fellation. Volontaires ou non peu m'importe, Robert s'abandonne à sa bouche gourmande.
    
    Une lame de fond l'emporte au paradis des plaisirs. Des salves de sperme fusent, comme des orgasmes en rafale qui l'accablent jusqu'à son total épuisement. Elle boit son plaisir comme un bébé accablé par la faim et qui tête sa mère. Il se meurt!
    
    Lorsque la source est tarie, elle s'approche de lui, sa bouche cherche la sienne et y pose ...
    ... en un baiser brûlant. Leurs haleines se mêlent, leurs langues s'entremêlent. Robert est tellement dans les vapes qu'il partage ce baiser comme sur un nuage.
    
    Lorsque Robert ouvre les yeux, tout autour de lui est sombre. Il a beau quérir le réconfort d'un objet, la pénombre atout effacé et
    
    À seule demeure la réalité de son cauchemar.
    
    Heureusement lui reste-t- il encore l'ouïe comme vaillant serviteur de ses sens.
    
    Et celle-ci lui dicte la présence d'un lac ou d'une mer en bordure de la maison où il est retenu prisonnier dans le sous-sol, maintenu debout par des cordes qui lient ses poignets à une poutre et complètement nu.
    
    Son corps porte des zébrures de coup de fouet et à force de pleurer ses larmes ont creusé un sillon sur son visage. Son épuisement est grand, profond même. Il se remémore Maitresse Jennifer est parti depuis quelque jour et la laisser aux mains de une amie Marie Claude. Bientôt une lueur se dessine à nouveau en haut de l'escalier, une lueur qu'il connaît pour ce qu'elle lui inspire de panique : il entend quelqu'un descendre, les pas se font plus proches et bientôt il voit apparaître Marie-Claude qu'il sait son bourreau depuis un nombre indéterminé de jours. Entre la longueur de ses nuits et la petitesse de ses jours seules ces quelques lueurs coutumières lui permettent de noter le temps.
    
    A chaque fois Marie- Claude recommence le même cinéma : elle arrive devant Robert, allume deux bougies qu'elle repose de chaque coté de lui à équidistance et ...