1. Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 06


    Datte: 21/11/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: Walterego, Source: Literotica

    ... dirais-tu d'un orgasme avec vue sur Notre-Dame? »
    
    Elle se rendit compte qu'elle n'était pas loin d'prouver les mêmes sensations et se pencha sur un bureau, troussant sa jupe au passage. Gauthier en profita pour faire glisser sa culotte le long de ses jambes et commença à caresser son clitoris, la faisant gémir presque instantanément. Une minute plus tard, elle sentit l'énorme gland familier se frayer un passage dans ses chairs heureusement bien lubrifiées.
    
    Tous deux excités par la situation, ils ne tardèrent pas à jouir convulsivement de concert, se mordant les lèvres pour ne pas attirer l'attention des badauds à l'extérieur du bureau.
    
    Lorsque Gauthier se retira, Catherine sortit un large mouchoir de sa manche et le plaça au creux de sa culotte en la remettant en place.
    
    « Je commence à m'habituer à être saillie à tout bout de champ » dit-elle en souriant. « Je dois bien avouer qu'atteindre le septième ciel en haut d'une tour est un plaisir de fin gourmet ».
    
    Gauthier rit de bon coeur et ils rejoignirent les autres visiteurs, admirant encore la vue avant de redescendre remercier leur guide.
    
    Ils décidèrent de flâner le long des quais plutôt que de retourner en calèche à l'hôtel.
    
    « Gauthier - ou Gunther - vas-tu maintenant m'expliquer qui était ce Teuton au restaurant? »
    
    « Désolé Cathy mais il y a encore trop de promeneurs autour de nous ; je te raconterai tout en dînant dans notre chambre. Du moins si j'y suis le bienvenu?»
    
    « Evidemment, traître, tu ...
    ... excites ma curiosité et puis tu oserais m'abandonner sans l'assouvir? »
    
    « Qui est excitée au point de réclamer l'assouvissement? »
    
    « Tais-toi et marche Gunther ... Ein ... Zwei ! »
    
    En rentrant au Ritz, Gauthier passa commande d'un dîner en chambre, sans oublier les crêpes Suzette, qui leur serait servi deux heures plus tard. Comme Catherine grimaçait quelque peu après la longue marche sur les pavés des quais et l'installa sur le sofa avant de la déchausser puis s'installa à ses côtés et commença à lui masser les pieds.
    
    « Gauthier, c'est divin ! Mais raconte-moi ton histoire avant que ton massage ne me donne d'autres idées ! »
    
    « Je ne serais pas contre ... j'adore tes pieds »
    
    « Que nenni mon ami, depuis quand fréquentes-tu les Prussiens? »
    
    « C'est une longue histoire ... Je t'ai déjà raconté que Grand-père Obermeier nous avait envoyés, ma mère, ma sœur et moi à Londres pour échapper à l'occupation. J'y ai fait mes études primaires avant de devenir interne à Oxford. Pendant ce temps, ma mère a rencontré un brasseur belge et l'a épousé à Bruxelles où elle a vécu quelques années tout en gardant un œil sur notre brasserie d'Epinal que Grand-père Obermeier avait racheté juste avant la guerre. »
    
    « Oui mais le Prussien? Et n'oublie pas mes pieds »
    
    « J'y arrive ... Ce qui est important à retenir, c'est que n'étant pas présent en Alsace, nous n'avons jamais eu à opter entre la nationalité allemande ou française contrairement à Grand-père qui s'est soumis à ...
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