Syndrome de Stockholm 05 - Histoires de Sexe

Syndrome de Stockholm 05

... ferai de mon mieux, Maîtresse. Que va-t-on me faire?

- Eh bien, tes tétons et ton clitoris sont assez pathétiques, et nous avons des moyens pour les rendre plus gros, plus sexy, d'une manière générale, par lipomodelage, c'est comme une liposuccion, mais les cellules graisseuse, seront réinjecter dans ta poitrine, dans tes tétons, et dans le clitoris afin de te faire d'énorme nichons avec de gros tetons, et ton clitoris pourrait attreintre un à deux centimètre au repos, Tels qu'ils sont, tes tétons ne peuvent recevoir que de petites pinces, et pour y accrocher les poids que nous voulons y suspendre, il en faut de plus grand. C'est pareil pour ton clitoris. »

Charlotte se dit qu'elle aurait mieux fait de ne pas demander. Après un petit déjeuner expédié, également apporté par Jane sur un plateau, Hélène dit :

« Je dois filer. Les appels du devoir. Tu as juste un quart d'heure avant que Jane vienne te chercher, alors enfile cette robe droite blanche et rien d'autre que ton collier d'esclave et du Chanel n°5. Au revoiiir. »

Et elle se dépêche de franchir la porte qu'elle verrouille derrière elle. Charlotte grimace aux mots "collier d'esclave" qui la rappellent son nouvel état dans la vie. Et elle se sent terriblement seule sans Hélène, elle commence à se reposer sur elle pour la guider de sa main, même si celle-ci est dure. Lorsque Jane frappe à la porte, l'ouvre et entre, Charlotte est prête. Elle ne veut plus jamais être en retard. Jane lui fait un clin d'œil, elles ...

... ont été fouettées ensemble, se sont mutuellement baisées et il y a maintenant un lien entre elles. Charlotte se demande quand elle aura à nouveau droit à la jeune chatte goûteuse de Jane.

"À quoi est-ce que je pense?" S'exclame-t-elle en silence. "N'importe qui penserait que je suis vraiment lesbienne." Sans dire un mot, Jane attache une laisse au collier de Charlotte et s'avance vers la porte. Elle n'a pas besoin de tirer, Charlotte trottine derrière elle, bien obéissante. Elle met même ses mains derrière son dos, bien qu'elles ne soient pas menottées. Toutes deux marchent dans les couloirs vers la porte qui mène au donjon. Tournent à gauche, plutot qu'à droite, Charlotte frissonne d'appréhension. La salle d'opération est un endroit terrible. Jane ouvre la porte, tire sa captive à l'intérieur et referme la porte derrière elle. Il n'y a qu'une faible lueur qui éclaire l'escalier. Soudain, Jane se tient devant Marianne, met une main derrière sa nuque, l'autre sur son derrière, et la tient bien serrée pour un baiser appuyé sur les lèvres. La main sur le postérieur soulève le bord de la courte jupe et un doigt glisse dans la fente de Charlotte. Prise par surprise, Charlotte met quelques secondes à réagir mais elle rend ensuite le baiser avec brio. Jane murmure, si doucement qu'elle n'est pas sûre de l'avoir entendue : « Je t'aime. » Puis les doigts et les lèvres s'en vont, et Jane continue de descendre Charlotte dans la pièce pour qui le sol en carrelage est froid à ses pieds ...