1. Retrouvailles Amoureuses


    Datte: 20/11/2025, Catégories: Sexe Lesbien, Auteur: Laurence123, Source: Literotica

    Quand tu a passé la porte, le temps sembla se figer. Deux semaines sans tes yeux, c'était une éternité. Mon regard s'accrocha à toi, comme si je te découvrais pour la première fois, comme si chaque trait de ton visage était une révélation. Tu étais là, si belle, si vraie, et tout en moi brûlait de te toucher.
    
    Je n'attendis pas. Je traversai le hall d'un pas décidé, et avant que tu puisses dire un mot, mes bras t'enveloppaient. Ton parfum m'enivrait, ta chaleur contre moi réveillait chaque fibre de mon être. Mes mains s'aventurèrent dans ton dos, glissant doucement, te retenant fermement comme si je craignais que tu disparaisses à nouveau.
    
    Je m'approchai de ton oreille, si près que je sentis ton souffle se hâter, et je murmurai, presque suppliant : "J'ai envie de toi." Ces mots brûlaient de tout le manque et de tout le désir qui m'habitaient depuis ton absence.
    
    Mes doigts effleurèrent les tiens, t'invitant doucement mais irrésistiblement à me suivre. Mon regard ne quitta jamais le tien alors que je t'entraînai vers ma chambre, chaque pas chargé de promesses silencieuses. L'air semblait saturé d'électricité, et je savais que toi aussi, tu sentais cette tension, cette urgence de s'abandonner l'une à l'autre.
    
    Quand la porte se referma derrière nous, le reste du monde cessa d'exister. Il n'y avait plus que toi, moi, et cette flamme qui menaçait d'embraser tout sur son passage. Et là, enfin, je te montrai à quel point tu m'avais manqué.
    
    Je t'attirai plus près ...
    ... encore, mes mains explorant doucement ton corps à travers tes vêtements comme pour retrouver chaque sensation oubliée loin de toi. Tes lèvres trouvèrent les miennes dans un baiser qui faisait taire toutes les jours d'attente, toutes les nuits de désir inassouvi.
    
    Mes doigts glissèrent dans tes cheveux tandis que tu commenças à me débarrasser de mes vêtements. Moi aussi, je voulais t'avoir nue. je retirai d'abord ton chandail, dévoilant tes seins que j'allai goûter aussitôt. m'enivrant du même geste de tes effluves de femme qui arrive d'un long trajet de voiture. Mes mains glissèrent le.long de ton ventre pour aller déboutonner ton jeans que je retirai en m'agenouillant devant toi.
    
    Je te guidai vers le lit, nos corps déjà enchevêtrés dans une danse instinctive. Je sentais ton souffle contre ma peau, tes mains cherchant à leur tour, impatientes, mais tendres, comme si elles voulaient mémoriser chaque courbe, chaque frisson.
    
    Je prenais le temps de t'adorer, chaque geste lent et chargé de promesses. Mes lèvres effleurèrent ta clavicule, descendirent le long de ton cou, semant des caresses brûlantes. Je voulais que tu sentes combien tu m'avais manqué, combien chaque seconde sans toi avait été une éternité.
    
    Tes murmures, tes soupirs me guidaient, amplifiant mon désir de te donner tout ce que j'avais retenu. Nos corps se trouvèrent, se répondirent, et plus rien n'existait en dehors de cette connexion profonde, presque sacrée.
    
    Cette nuit-là, je voulais te montrer, sans ...
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