1. Le journal d'Aureline 1


    Datte: 25/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Lesbienne Auteur: Aureline_Janus, Source: xHamster

    ... Non je suis en logement étudiant.
    
    - Cela signifie que tu as un peu de temps libre. Si j’accepte ta candidature, et tu noteras que ce n’est pas un dû, ce temps me sera intégralement alloué. Tu devras te tenir à disposition à n’importe quel moment à l’exception de tes heures de cours et examen. Tu travailleras ici si tu le souhaites. Je peux t’aider, en ce qui concerne notamment la discipline et l’assiduité. Je tiens à ce que notre relation ait un effet bénéfique sur tes études.
    
    - Merci Madame.
    
    - Maintenant déshabille toi.
    
    Je retire la jupe, la pose sur un fauteuil. Je dégrafe le chemisier, lentement. Mes doigts tremblent un peu. Je suis en soutien-gorge et culotte. J’ai l’impression d’être en visite médicale ou à l’armée. Voyant que j’hésite, Maîtresse F. me tance : « eh bien qu’attends-tu ? enlève tout ! » Mes sous-vêtements vont rejoindre la jupe et le chemisier.
    
    - Jolis seins, dit-elle. Un corps jeune et ferme. Tourne-toi. De belles fesses, rondes et charnues. Retire tes mains, dévoile-moi ton sexe. Tu es rasée à ce que je vois.
    
    - Maître J. le préfère ainsi, Madame.
    
    - Il a raison. Les poils sont inesthétiques. Mais ils ont la fâcheuse habitude de repousser. Je préfère une méthode plus… radicale. Mais nous verrons cela plus tard.
    
    Elle se lève et passe dernière moi. Elle fait alors quelque chose de très étrange. Avec un mètre de couturier, elle prend mes mensurations : tour de cou, poignets, poitrine, taille hanches, chevilles. Je n'ai pas changé de ...
    ... position, je ne bouge pas.
    
    - Tu vas prendre place sur ce fauteuil, les jambes bien écartées, un pied sur chaque accoudoir.
    
    J’obéis, sans pouvoir dissimuler mon embarras. Même chez le gynécologue, je ne m’exhibe pas ainsi. Et Maîtresse F. va m’apprendre que je peux être encore plus exposée et nue.
    
    - Ecarte les grandes lèvres avec les mains.
    
    Dans un état second, je fais ce qu’elle m’a ordonné. Elle se penche. Elle est à genoux, à mes pieds, le visage à quelques centimètres de mon sexe.
    
    Sa main se pose sur mon ventre, descend, elle effleure mon clitoris du bout de l'ongle, impossible de réprimer un frisson.
    
    - Sensible, dit-elle. Lève les bras.
    
    Je m'exécute. Elle glisse un doigt, il entre si facilement, je suis tellement mouillée. Oh mon Dieu, je n'arrive pas à y croire, une femme me touche la chatte, me pénètre, je n'aurais jamais cru qu'une chose pareille m'arriverait et que je me laisserais faire comme une poupée.
    
    - Tu es accueillante, chaude et humide.
    
    Sa voix se fait enjôleuse, caressante, ajoutant à mon trouble. Je suis sous hypnose.
    
    - Dis-moi, est-ce qu’un homme t’as déjà fait jouir juste en te baisant ?
    
    Je pense : « en quoi est-ce que cela vous regarde ? » Mais je réponds malgré moi, avec une voix qui me parait presque étrangère :
    
    - Non Madame. Avec la langue et les doigts, quelques fois, mais pas avec son sexe.
    
    Elle retire son annulaire plein de cyprine pour l'introduire dans l'autre orifice, plus étroit et inexploré. La surprise me ...