1. Souvenirs d'infirmière (partie 4)


    Datte: 25/09/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Clar, Source: Hds

    ... plusieurs minutes, faisant naître un désir mutuel. Ils se frottaient l’un contre l’autre. Lorsqu’ils se désunirent, ils regardèrent vers le couple debout à côté d’eux. Bouba était entièrement nu, et ondulait contre la jeune femme qui n’avait plus que son porte-jarretelle et ses bas noirs. Peau blanche habillée en bas de noir contre peau noire. Saisissant contraste. Les mains de l’une branlant le pieu tendu tandis que les mains de l’autre fouillaient la grotte secrète.
    
    Ben déshabilla Chantal et se dévêtit. Il s’étendit de dos sur la moquette. Chantal l’enjamba et s’assit sur lui, s’empalant d’un coup dans un râle de bonheur, se laissant absorber par le sexe tendu. Tandis qu’il la besognait, il triturait ses seins, pinçant les mamelons.
    
    Chantal tourna la tête vers le couple voisin. Bouba était allongé sur le dos, Clotilde allongée en 69 sur lui. Il lui léchait la chatte dégoulinante de mouille, enfonçant sa langue dans son vagin, tandis qu’il avait enfoncé un doigt dans l’anus de la jeune femme. De son côté, elle pompait le nœud de son amant, ne pouvant l’absorber en entier. Lorsqu’ils furent prêts et suffisamment excités, la jeune femme s’allongea sur le dos, jambes largement écartées, offrant son sexe dilaté à la longue épée. Il l’investit d’un coup, la faisant hurler. Ils se déchaina, la labourant à un rythme endiablé. « Tu aimes salope ? Dis-moi que tu aimes, que c’est bon, que tu es une salope qui aime les blacks et leurs grosses queues. Ben m’a raconté comment il ...
    ... t’avait sautée à l’hôpital. Tu aimes la queue. Vas-y, dis-le » « Oh oui, je suis une salope, une pute, j’aime me faire foutre par une bonne queue noire. Vas-y continue. Fourre-moi, baise-moi, défonce moi, fais-moi jouir ». Prise dans un délire érotique, la jeune infirmière se surprenait à dire des mots qu’elle n’avait jamais prononcés. Elle n’était plus qu’un sexe brûlant à la recherche du plaisir. Il la limait comme un forcené, se moquant de savoir combien de temps il allait pouvoir tenir tellement c’était bon, appuyé sur ses coudes. Il la défonçait, s’enfonçant peu à peu dans un plaisir hors norme. A côté d’eux, Chantal se hissait sur les talons et se laissait retomber sur son étalon. Elle aussi hoquetait des mots sans suite où revenaient régulièrement des mots crus. Longtemps après, les deux garçons éjaculèrent presque au même moment, entrainant leurs partenaires dans un orgasme bruyant.
    
    Ils n’avaient pas faim. Une autre faim les habitait tous les quatre. Ben attrapa Clotilde, la fit mettre à quatre pattes et la prit en levrette. Chantal s’allongea sur le côté, Bouba se positionnant derrière et s’enfonça dans une chatte aux allures de figue molle. Un autre round commença. Les deux garçons, ayant déjà joui, avaient de la réserve. Ils en usèrent. Les deux femmes n’étaient plus que des pantins désarticulés, hurlant leurs jouissances successives en demandant d’arrêter puis de continuer.
    
    Une odeur de stupre montait dans la pièce. Lorsque les deux hommes jouirent, deux ...