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Kidnapping et Soumission Tome 10
Datte: 25/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymanumaitre, Source: Literotica
... de chauffer l'huile et quelques minutes plus tard un liquide chaud coula dans mon ventre par l'entonnoir. C'était à la limite du supportable. Lorsque l'écoulement s'arrêta, j'ai compris ce qu'il y avait dans mon ventre en voyant l'homme avec une friteuse. On m'a alors ordonné de bien garder toute l'huile dans mon cul si je ne voulais pas subir leur colère. On m'a retourné et je fus allongée au sol voyant tout ce qu'ils préparaient. Je serrais toujours mes fesses pour ne pas perdre le liquide de mon ventre. Une poulie a été fixée au plafond et un câble a été passé dans la poulie pour être fixée à la poutre. Deux d'entre eux ont tiré sur le câble et la poutre et moi-même glissâmes sur le sol. Puis la poutre s'éleva et ma peau glissa contre le lino du baraquement. Ils tirèrent sur le câble jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que ma tresse qui touche le sol. Un homme passa du câble dans les anneaux de chaque lèvre de ma chatte et l'attacha à la poutre en n'oubliant pas d'étirer les anneaux vers le plafond. C'est alors que plusieurs gars m'ont frappé avec des bouts de câble. Ils s'en servaient comme si c'était des fouets. Mes jambes, mes fesses, mes seins, tout mon corps fut cinglé. Et ils m'ordonnaient de toujours garder l'huile dans mon cul. Un des portugais s'amusait à frapper entre les lèvres étirées. Lorsqu'il y parvenait je hurlais tellement la douleur était insupportable et lorsque je laissais échapper de l'huile de mon cul, ils frappaient encore plus fort. Lorsqu'ils trouvèrent ...
... que j'en avais pris assez, ils me descendirent du plafond. Je pensais qu'ils en avaient fini avec moi mais je me trompais lourdement. Ils détachèrent la poutre de mes chevilles et la fixèrent à mes bras. Je fus de nouveau élevée dans les airs. Ils m'ont alors attaché les jambes à l'équerre. Je sentis qu'on me lubrifiait le cul. Puis je redescendis du plafond doucement. C'est alors que je sentis qu'un objet forçait mon cul jusqu'à le déchirer. Je hurlais sous l'intromission. Un des hommes filmait avec son téléphone pendant que je criais. Un autre prit des clichés avec son appareil numérique. Je descendais toujours jusqu'à ce que mon cul s'ouvre et que je sente l'objet me pénétrer l'intestin. L'huile coulait de mon cul. Ils me faisaient descendre et remonter avec la corde et mon cul glissait en s'écartant sur l'objet. Ils rirent aux éclats en voyant les giclées d'huile sortir de mon cul. Un des portugais me montra son i-phone et je vis alors que j'étais empalée sur une sorte de manche en bois dont le diamètre grossissait en allant vers le sol. Je ne sentais plus mon cul tellement il était écarté. Et ils me faisaient descendre le long de ce manche en bois. Je les suppliais d'arrêter car ils allaient me déchirer. J'avais l'impression qu'on m'ouvrait en deux. Ils bloquèrent le câble à un poteau et mon cul s'arrêta de descendre sur le pal. C'est alors que plusieurs d'entre eux me frappèrent de nouveau avec leurs morceaux de câble. Puis ils me désaccouplèrent du pal et me firent ...