Mûres22/vieille dame pincée en club échangiste
Datte: 24/09/2019,
Catégories:
Mature,
Partouze / Groupe
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: langauchat, Source: xHamster
... en colimaçon pour nous rendre à l'étage supérieur. On passe aux choses sérieuses.
Malgré la pénombre, on distingue des silhouettes en train de copuler. Le sol de la salle principale est couvert de matelas, où les corps s'emboîtent avec des râles, des soupirs saccadés.
Brigitte s'attendait à ce genre d'épanchements, mais reste ferme sur ses décisions: moi la grande enculée qui suce les couilles de mon amant de l'âge de mon fils, je ne me mêle pas à cette ménagerie.
Nous restons debout, cherchant notre place. Toujours habillé de noir, je sors ma bite et y pose la main de Brigitte.
La digne salope me branle doucement, tandis que nous nous dirigeons vers l'endroit le plus discret de tout l'étage: un canapé dans un angle. A quelques mètres de là, un autre canapé qui accueille un autre couple. La tête de la femme va et vient sur l'entrejambe de son compagnon. C'est tout ce que nous distinguons. Mais cela nous suffit à nous émoustiller. Nous avons franchi le pas, nous allons fricoter en face d'un homme qui se fait tirer une pipe.
Brigitte accepte de me sucer également.
Un employé du club passe à ce moment là. Jolie stéréophonie, doit-il se dire. Une femme suce son homme, une vieille dame à chignon lèche les couilles de son neveu, de son gigolo, de son fils...
J'outrepasse les ...
... limites fixées par Brigitte en me débarrassant de son pantalon. Elle ne voulait pas baiser dans cet environnement, mais après tout...elle a vite fait de relever les voiles de sa robe, et de me laisser me placer entre ses cuisses. Je pointe la queue sur sa fente que je ne vois pas.
J'ai le plaisir de la fourrer en me voyant comme dans un film. Je suis heureux de former la moitié de ce couple atypique, qui met une touche fellinienne dans ce décor estompé.
Après avoir juté dans le con de ma gouvernante, nous nous rhabillons, et nous rendons au vestiaire.
Je revois Brigitte, face à un miroir, d'une raideur digne d'une gravure des temps passés, réajuster sa coiffure, tranquillement, alors qu'une grosse salope sans classe dégrafe son soutien-gorge juste à côté d'elle. Par la porte ouverte du vestiaire, on voit une partie de la salle de baise. La grosse cochonne croisée à l'entrée maintient ses jambes en l'air, tandis qu'un homme s'active en elle comme un bonobo, ce qui arrache à la fille de petits cris aigus.
Cette scène ne semble pas affecter le regard en amande, tranquille et hautain, de ma vieille salope à moi.
De retour à la maison, avant de nous endormir, je ne me souviens plus si je l'ai enfilée dans son lit blanc après une bonne léchée de couilles et de cul, mais c'est fort possible.