Je serai la femme d'un homme riche...
Datte: 24/09/2019,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
noculotte,
Masturbation
pénétratio,
policier,
aventure,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... aussi le bouton du haut n’ait des velléités d’indépendance et l’abandonne, laissant poindre une bonne partie de ses seins libres.
Heureusement, Rossi ne travaille pas seul ; c’est une multitude d’autres vétos qui font tourner cette clinique, et les animaux que l’on amène à soigner au grand chef sont plutôt rares. À la fin de l’après-midi, Sophie a remarqué qu’il n’a reçu en réalité que six ou sept clients tout au plus.
Rossi regarde sa montre ; il est bientôt six heures.
— Sophie, retirez-moi cette blouse et venez là, s’il vous plaît.
De nouveau, sans réellement comprendre ce qui la pousse à obéir aveuglément, elle s’exécute sans hésiter. C’est donc totalement nue, à l’exception de ses bas noirs et de ses hauts talons, qu’elle s’approche du spécialiste animalier. Celui-ci la prend par le bras sans ménagement, la retourne et l’appuie contre le bureau, pressant fermement sur ses reins pour qu’elle se penche au-dessus du plateau de marbre rose. Elle a quasiment les seins qui touchent la roche froide quand elle sent une main passer entre ses cuisses, qu’elle entrouvre instinctivement, et que deux doigts inquisiteurs s’enfoncent brutalement et sans autre forme de procès dans son vagin détrempé, avant de remonter pratiquement jusqu’à son anus.
Elle n’en est pas certaine, mais il semble qu’il veuille s’assurer qu’elle est assez mouillée pour la pénétrer, et d’ailleurs elle en a très vite confirmation quand elle le voit fureter dans sa braguette et en sortir un mandrin ...
... de belle taille. Sentant venir l’outrage, elle se cambre alors un peu plus, se préparant mentalement à recevoir ce gros chibre tout au fond de sa chatte.
Rossi se met alors en place derrière elle et, tandis qu’elle s’apprête à l’accueillir, celui-ci remonte son sexe de quelques centimètres et d’un seul trait s’enfonce jusqu’à la garde dans son boyau culier. La douleur qu’elle ressent alors est atroce, et le hurlement qu’elle pousse est à la hauteur de cette souffrance. La première sodomie de Sophie remonte à des années, et elle a toujours été assez friande de cette pratique ; mais jamais elle n’a été prise aussi brutalement par cet endroit, et surtout sans préparation d’aucune sorte. Mais les larmes qui coulent le long de ses joues ne semblent absolument pas concerner le praticien qui continue de la pistonner furieusement tandis qu’elle continue de hurler sa souffrance.
Puis, sans qu’elle s’en rende compte, les muscles de son sphincter de détendent enfin, la douleur s’amenuise, et elle recommence à respirer à peu près normalement, au fur et à mesure que la douleur s’estompe.
Celle-ci disparaît presque aussi rapidement qu’elle était venue, et c’est désormais presque voluptueusement qu’elle sent le gros braquemart s’enfoncer dans son rectum. Elle se cabre alors au maximum pour qu’il la pénètre encore un peu plus loin, les seins posés cette fois complètement sur la pierre glaciale, tandis qu’elle s’accroche comme elle le peut pour ne pas glisser du bureau à chaque coup ...