1. En Afrique avec ma belle-mère


    Datte: 24/09/2019, Catégories: fh, fplusag, alliance, vacances, amour, Oral 69, fdanus, fsodo, Auteur: Dan, Source: Revebebe

    ... !
    
    Je me précipitais en bas et là je la vis toute affolée assise sur son lit
    
    — Qu’y a-t-il, Jeanne ?
    — Quelqu’un me regarde par la fenêtre.
    
    J’allai discrètement vers la porte, l’ouvris mais il n’y avait personne dehors, sauf une branche de bougainvilliers bougeant doucement sous l’effet du léger vent qu’elle avait dû prendre pour un voyeur. Je la rassurai et lui dit qu’elle pouvait se rendormir.
    
    — S’il te plaît Daniel, reste à côté de moi, j’ai vraiment peur.
    
    Je ne me fis pas prier et acceptai sa demande ; elle ouvrit le drap et j’entrai dans son lit ; elle se blottit contre mon épaule et commença de grattouiller mon bras comme un chat qui patoune. Je passai mon bras droit sous ses épaules et la serrai un peu plus contre moi. Elle émit alors des soupirs de contentement. Nous étions face à face et l’un contre l’autre. De ma main gauche, je commençais à lui grattouiller le dos afin qu’elle se calme, c’est du moins ce que je lui dis, et ma main se déplaça de plus en plus bas, j’effleurais ses reins presque ses fesses et me doigts transformèrent les chatouillis en caresses. Je commençais à bander très fort et j’avais un peu éloigné mon bassin de son corps afin qu’elle ne sente pas trop mon sexe en érection. Elle se rapprocha encore de moi et dit :
    
    — C’est agréable…
    
    C’est à ce moment-là que ma main gauche atteignit ses fesses et commença à les malaxer. Dans un soupir elle dit :
    
    — Ho, Daniel, que fais-tu ? Je suis ta belle-mère quand même ?
    
    Je retirai ...
    ... vivement ma main et me remis à lui caresser le dos durant de longues minutes et puis n’y tenant plus, je la fis descendre de nouveau sur ses fesses.
    
    Je m’attendais à une nouvelle réaction de sa part, mais rien…
    
    Dormait-elle ? Oh non, car dans la pénombre, je vis un sourire sur ses lèvres
    
    — Ça va Jeanne, tu n’as plus peur ?
    — Oui, c’est trop bon ; il y a tellement longtemps que personne ne m’a caressée.
    
    Ma bouche chercha la sienne et nos langues se mêlèrent. Après un baiser qui dura un temps fou, Jeanne me susurra à l’oreille :
    
    — J’attendais tant le moment de me retrouver dans les bras d’un homme, j’avais trop peur qu’il ne revienne jamais.
    
    Elle empoigna ma verge et dans un sourire me dit :
    
    — Et puis alors si ma fille n’en veut plus, moi je suis peut-être preneuse, tu sais !
    
    La balle était maintenant dans mon camp
    
    Je lui enlevai sa nuisette et son corps nu apparut à ma vue pour la première fois dans la pénombre de la pièce. Ses seins tombaient un peu mais les aréoles très sombres étaient un aimant pour mes yeux ; mon cœur palpitait et l’envie de faire l’amour à ma belle-mère devenait obsédante.
    
    Je la mis sur le dos et mes mains caressèrent ses seins. Ils commençaient avec les années à devenir un peu souples, même un peu flasques, mais avaient encore un volume assez conséquent. Mes doigts prenaient un immense plaisir à les malaxer longuement avec douceur ; ma bouche quitta la sienne et atteignit ses mamelons ; je les mordillais puis les pinçais des ...
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