En Afrique avec ma belle-mère
Datte: 24/09/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
alliance,
vacances,
amour,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
Auteur: Dan, Source: Revebebe
... ma demande. J’y allai donc et demandai s’il était possible d’emporter dans mon bungalow, de quoi boire du thé, du café avec du pain, du beurre et de la confiture. Le serveur, certainement habitué à ce genre de demande à une pareille heure, me lança un sourire en disant :
— Vous avez une tête toute chiffonnée ; vous n’êtes pas malade au moins ?
— Non, pas de problème, je manque seulement de sommeil.
— Dans ce cas, ce que je vais vous donner de quoi vous rétablir très vite, vous en voulez pour combien de personne ?
— Deux, s’il vous plaît.
Avec un sourire entendu, il partit derrière, dans la cuisine, et revint dix minutes plus tard avec un sac et deux thermos.
— Le nom de votre bungalow s’il vous plaît ; ne vous souciez pas pour les thermos, vous me les rendrez cet après-midi, bon appétit, au revoir Monsieur…
Je me dirigeai vers notre bungalow et retrouvai Jeanne qui me fit un grand sourire ponctué de coucous avec la main en me voyant.
Je lui présentai ce que je rapportai et on décida de prendre ce petit déjeuner de fortune dans un coin du petit jardin situé devant le bungalow, bien à l’abri des regards derrière la haie touffue, car la femme de ménage officiait à l’intérieur.
Elle portait le bikini noir avec un haut très échancré qui faisait remonter sa poitrine. Hum, j’aurais tellement voulu tendre ma main pour la peloter… On prit place dans les meubles de jardin et on commença le petit-déjeuner. Au bout de vingt minutes, la femme de ménage réapparut en ...
... disant :
— C’est fini, bonne journée, au revoir et à demain.
Jeanne me sourit et dit :
— On est seuls maintenant. Que veux-tu faire ? Moi j’irai bien me baigner une petite heure ; tu vois, je suis déjà en tenue et j’aimerais bien bronzer un peu.
Sitôt dit sitôt fait, je pris les deux thermos et pendant que Jeanne allait vers la plage, je me dirigeai vers le bar pour rendre les thermos. Je pris un chemin qui menait à la plage mais qui permettait de la surplomber avant d’y accéder. Je pus voir de nombreuses femmes, des jeunes, des mûres et des plus âgées, se baigner les seins nus. C’est sûr, toutes n’avaient pas des seins parfaits qui auraient passé avec succès le test du crayon, mais qui s’en souciait, elles étaient heureuses de passer un moment agréable sous le chaud soleil de la Côte d’Ivoire.
De loin, je vis Jeanne qui était en train d’enlever son paréo avant d’aller dans l’eau. Je la suivis du regard, son corps était beau et elle ne faisait pas ses 52 ans, pas de bourrelet sur les hanches, peu de cellulite, une poitrine encore bien agréable à voir, même si elle avait dû être encore mieux, il y a quelques années ; qu’importe, elle me plaisait telle qu’elle était et je la désirais.
Elle partit vers l’océan et ne me vit donc pas déposer mes affaires à côté des siennes et courir la rejoindre dans l’eau.
Je m’approchai derrière elle tout doucement et la saisit par les hanches. Elle poussa un cri de peur strident, se retourna, me vit… s’accrocha à mon cou en ...