1. La rencontre


    Datte: 23/09/2019, Catégories: fh, hplusag, vacances, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Klixx, Source: Revebebe

    ... ! me dit elle.
    — Bien, Madame, répondis-je.
    
    Elle sourit, ferma les yeux puis se mit à augmenter le rythme. Elle rejeta sa tête en arrière, soupirant, sentant monter son plaisir, attisant le mien. Elle se pencha en avant, ses seins frôlant mon torse ; j’avais la sensation d’éclairs courant sur ma peau à chaque mouvement. Elle se baisait elle-même sur mon sexe : j’étais surpris, pas habitué ! Quelle maîtresse ! Elle m’embrassa et, se redressant, accéléra. J’accompagnai sa furie par des mouvements de bassin ; nous étions en pleine fusion corporelle, mentale. Un parfum de sexe emplissait la pièce, nos sueurs mélangées rendaient l’atmosphère encore plus érotique.
    
    L’orgasme nous faucha simultanément, tel un coup de foudre ! Littéralement électrocutés, nous perdîmes pied, à la limite de l’évanouissement. Le temps s’arrêta, net.
    
    Jamais je n’avais ressenti cela. Que se passait-il ? Je m’endormis, comblé.
    
    Quelques minutes ou heures plus tard – je ne saurais dire – je me réveillai. Le soleil avait commencé à se voiler, la chaleur à s’estomper. M’étirant, je cherchai du regard mon amante : j’étais seul. Le sourire aux lèvres, je repensai avec délice à notre étreinte. Quelle aventure ! Quelle amante ! Un caractère de feu, un art du sexe consommé ! Je m’octroyai une douche, vis ...
    ... mes vêtements en train de sécher.
    
    En sortant de la douche, je fus surpris de voir sur l’étagère une collection de sextoys de formes et couleurs variées, y compris des plugs. Lise devait avoir une activité sexuelle soutenue. Mais je n’eus guère le temps de rêvasser : des rires joyeux me parvenaient de l’entrée.
    
    Sortant de la salle de bain, je tombai nez à nez avec une jolie fille de type asiatique. Elle me bouscula presque, s’excusant :
    
    — Ça presse !
    
    Sans cérémonie, elle baissa sa culotte et s’assit sur les toilettes. Décontenancé par tant d’audace et de naturel, je détournai les yeux et passai au salon. Lise était attablée.
    
    — John, veux-tu plus de jus de mangue ? Malika est ma femme ; je n’ai pas eu le loisir de te l’annoncer, et nous ne sommes pas jalouses… me dit-elle, une lueur coquine traversant son regard.
    
    Sirotant mon jus de fruit avec gourmandise, j’entrevoyais les meilleurs moments à venir.
    
    Malika sortit de la salle de bain, courant comme une petite fille. Sa jeunesse irradiait la pièce.
    
    — Lise, Lise, allons à la mer !
    
    Lise répondit que sans voiture… Je l’interromps aussitôt :
    
    — Si vous voulez, je vous y emmène. Je connais bien la côte et les plages, et nous pourrons ensuite dîner dans une paillote.
    
    Devant l’air ravi de Malika, Lise accepta. 
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