Neuf petits mots...
Datte: 23/09/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
inconnu,
boitenuit,
hdomine,
vengeance,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Xavier2, Source: Revebebe
... nouveau sur elle, pour la finir en missionnaire. D’elle-même, elle place docilement ses mains au-dessus de sa tête pour mieux m’offrir son cou et ses épaules. Ses jambes viennent autour de mes reins pour mieux épouser le rythme de mon bassin. Mes pénétrations sont toujours aussi profondes, mais plus lentes, un mouvement un peu circulaire, en remontant et en variant parfois les angles pour visiter sa chatte à fond. Quand son corps se tend, je relève ma tête et lui prends les mains pour les immobiliser : je veux l’entendre jouir. Elle a un très bel orgasme, long, mélodieux, avec son corps qui se détend et se contracte autour de ma bite. C’est le moment que je préfère quand je baise. J’ai le sentiment du devoir accompli, je peux me laisser aller. Je la finis presque violemment, à grands coups de queue, et je lâche la purée, la grosse dose puisque que je n’ai pas baisé depuis une semaine.
Je la retourne sur le flanc et me mets derrière elle, ses fesses contre ma bite, en lui entourant le torse de mes bras et en posant mes mains sur ses seins. Je lui embrasse la nuque, sa poitrine monte lentement au rythme de sa respiration. Je suis bien, très bien même. C’est elle qui parle la première :
— C’était bon.
— Non, c’est toi qui es bonne. J’aime ton corps, il est pur.
Elle a eu un petit rire :
— Pur ? Tu parles ! Je ne crois pas que mon copain dirait ça, s’il savait.
— Laisse-le là où il est, ton copain. Moi, je te dis que ton corps est pur. S’il ne s’en rend pas compte, ...
... tant pis pour lui.
Maude commence à ronronner, toujours collée à moi. La chaleur de ses fesses, son odeur, je bande de nouveau. Le chemin est facile à trouver. Sa chatte, ouverte, trempée, est juste devant ma bite, j’ai juste à suivre la raie de son cul. Je mets la main par plaisir, je n’en ai même pas besoin pour me guider. Je ne la pénètre pas, nous nous emboîtons. C’est doux, c’est même tendre, ses fesses bougent, son vagin vient s’empaler sur ma queue. Je la tiens serrée contre moi, je lui pince un peu les seins. J’ai rarement baisé comme ça. Je descends ma main vers son clito et le décapuchonne, pour hâter sa fin. Mes doigts pleins de mouille et de sperme viennent maintenant au-dessus de ses lèvres : je veux qu’elle sente cette odeur. Après, je force sa bouche avec mes doigts pour qu’elle les lèche. C’est comme ça qu’elle jouit, bouche pleine, en serrant ma bite dans l’étau de son vagin contracté par l’orgasme. Je la suis. Je l’entends vaguement dire qu’il faudrait se lever, qu’elle doit rentrer. Je lui demande si elle en a vraiment envie. Elle répond que non. J’aimerais que ma bite reste en elle toute la nuit. Quand sa chatte l’expulse, je crois que Maude dort déjà.
C’est elle qui se réveille la première. Il est 10h45. Elle est gaie, elle m’embrasse, mais inquiète aussi :
— Il faut y aller. Mes copines vont être mortes d’inquiétude. Tu m’avais dit que tu me ramènerais pendant la nuit.
La chaleur de ses lèvres, celle de ses seins contre mon torse, son odeur… ...