Neuf petits mots...
Datte: 23/09/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
inconnu,
boitenuit,
hdomine,
vengeance,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Xavier2, Source: Revebebe
... prendre en levrette en caressant son clito de la main. De l’autre, je continue à lui détendre l’anus. Quand elle jouit, j’ai deux doigts enfoncés en elle. Je les enlève, retire mon sexe de son vagin et le repose juste un peu plus haut. Elle ne se dérobe pas et je la pénètre lentement au rythme des contractions et du relâchement de son corps pendant son orgasme, en faisant peser mon poids sur elle. Maude est serrée, le passage de l’anus est un peu douloureux, pour moi et donc pour elle. Mais son corps cède d’un coup et je m’enfonce en elle jusqu’à ce que mon ventre touche ses fesses. Je vois ses doigts se décrisper sur les draps, et je lui travaille tranquillement les fesses en profondeur.
C’est très bon. Ma bite coulisse bien dans son cul étroit. Quand j’arrive en butée, le choc lui fait relever la tête, et elle pousse un petit râle. Je la tiens par les hanches, mais elle prend ma main et la guide vers son clito. Dégourdie, la petite… Je la caresse jusqu’à la jouissance, puis reprends appui sur ses hanches pour la besogner. Quand je me retire après mon orgasme, je profite du spectacle qui me bouleverse chaque fois que j’encule une fille : son anus bien ouvert, formant un « O » tout rond. C’est peut-être idiot, mais dans ces moments-là, j’aimerais m’appeler Olivier. Il y aurait Octave aussi, mais ça le ferait moins bien. Parce que je ne peux pas m’empêcher de penser à la chanson de Zorro :« Il signe son nom d’un O qui veut dire Olivier ».
Je lui prends la main, la pose ...
... à l’entrée de son anus dilaté par ma bite, pour qu’elle puisse constater la trace de mon passage. Et je la laisse dans cette position, toujours en levrette, cul levé et main sur l’anus, pour aller me laver dans la salle de bains.
Quand je reviens, Maude est sous les draps, en position fœtale, dos à moi. Je m’allonge contre elle. Elle se retourne et vient gentiment vers moi, sa cuisse ouverte recouvrant mes jambes. Elle semble heureuse, ou tout au moins sereine. C’est drôle comme la sodomie rend toujours une femme tendre, après coup. Je me lève tôt le matin, pour embaucher à 8 heures. Alors je mets le réveil, l’embrasse sur les lèvres et éteins la lumière. Elle n’a que quelques mots :
— Je pensais que ça ferait plus mal. C’était la première fois, tu sais…
Elle a laissé la fin de sa phrase en suspens. Elle attend donc que je lui réponde, quelque chose de gentil de préférence. Je ne trouve pas. Les mots pour draguer, pour faire le malin ou pendant le sexe, je les connais. Mais les autres, j’ai toujours eu plus de mal.
Maude a un petit rire gai, qui me semble quand même étrange en de telles circonstances. Tête dans le creux de mon épaule, une de ses mains posée à plat sur mon torse, elle reprend la parole et me dit tout doucement :
— C’est pas grave. Parle-moi encore de la forêt, alors.
Là, je suis plus à l’aise. Je lui parle des couleurs et des odeurs de la forêt suivant les saisons. Lui dis la douleur que j’éprouve toujours, au moment des coupes d’élagage, à ...