1. Moi Franck, logé par des voisins de mes parents (1)


    Datte: 22/09/2019, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... le dimanche en fin de matinée. Je me doutais bien qu’ils n’allaient pas à la campagne, sinon ils m’auraient donné des nouvelles de mes parents.
    
    Par contre jamais il ne me serait venu à l’idée d’inviter copain ou copine chez eux en leur absence. A ces occasions, je commençais à prendre l’habitude de prendre les petites culottes de Geneviève qui sentaient très fort, pour les sentir, pour me faire du bien dedans, pour les lécher et même pour les enfiler. La femme de Claude était une grande et magnifique rousse, dont j’adorais l’odeur, ne faisait maintenant que me troubler. Au fur et à mesure que les weekends passaient, je commençais à prendre confiance en moi, au début je lui empruntais une culotte pour la nuit, mais rapidement je me suis mis à lui prendre une paire de bas, un body. Début novembre, j’en étais littéralement à me travestir, car je lui empruntais même de douces robes et des escarpins, car nous avions la même pointure. Je ne vous raconte pas mon extase à la venue de ma jouissance, quand j’étais ainsi accoutré. Le problème c’est que je ne faisais plus ça que le weekend, mais j’avais gardé une ou deux culottes ainsi qu’un body de Geneviève dans ma chambre.
    
    J’avais à ce point mis mon doigt dans une spirale infernale, que maintenant le weekend, j’allais même dans leur chambre pour essayer de trouver des robes qui me plaisent et surtout qui soient à ma taille, mais la plupart m’allaient. Je prenais de plus en plus de risques à tel point, qu’il m’est arrivé à ...
    ... plusieurs reprises de tout ranger in extremis, avant qu’ils n’arrivent. Maintenant la plupart du temps, le weekend en leur absence, je révisais mes cours habillé en femme avec une érection qui laissait imaginer l’effet que me faisaient ces vêtements sur moi. Je partais pratiquement tous les matins avec un tanga ou une grande culotte en lycra sous mon boxer. Le plus beau c’est que dans un tel contexte mes parents ne me manquaient pas, quelle ne fut pas ma surprise un vendredi soir quand Claude et Geneviève m’ont dit de me préparer car nous partions la campagne et par la même occasion voir mes parents. Dans la voiture, ils m’ont expliqué que ce n’était vraiment pas très sympa de ma part de ne pas donner de nouvelles régulièrement à mes parents.
    
    Je leur ai expliqué que j’étais plus concentré sur mes études, à travailler, car ce n’était pas évident, venant d’une branche économie, je me retrouvais dans une branche scientifique, ce qui nécessitait beaucoup plus de travail personnel.
    
    — C’est tout en ton honneur Franck, mais il ne faut pas oublier tes parents.
    
    Au bout de deux bonnes heures de route, nous sommes arrivés, j’étais quand même très heureux de revoir mes parents. Cela faisait bientôt trois mois que je ne les avais pas vus, là j’en avais limite une petite larme aux yeux en serrant ma mère dans mes bras. Nous dînâmes tous les cinq chez mes parents, l’ambiance était sympa, nous avions vraiment beaucoup de chance d’avoir Claude et Geneviève comme voisins. À la fin du repas ...
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