1. Pascale, quel souvenir !


    Datte: 22/09/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail massage, intermast, pénétratio, uro, nostalgie, amourdura, consoler, Auteur: Monbel, Source: Revebebe

    Nous avions des relations professionnelles anciennes, nous nous connaissions bien. Son mari l’avait quittée depuis quelques mois. Elle avait mal vécu cette période.
    
    J’étais représentant, Pascale responsable des achats chez un client important. Je l’invitai à dîner un soir. Elle accepta en proposant que nous amenions Philippe et Hélène ses deux enfants, pour leur changer les idées. Pris de court je ne pouvais refuser.
    
    Nous avons choisi un mardi, le lendemain les enfants n’avaient pas classe. Pascale avait la belle quarantaine, pulpeuse et bien faite. Elle était bien habillée, une belle robe noire soulignait sa poitrine, ses hanches superbes. Le repas se passa bien, Pascale menait la conversation, nous fîmes parler les enfants de leurs projets. Philippe voulait être vétérinaire, Hélène danseuse.
    
    C’est à plus de 22 Heures 30 que je les ai raccompagnés. Pascale me proposa, devant leur maison, de venir boire un décaféiné, « le meilleur de la ville ». Je me retrouvai dans le salon, Hélène et Philippe vinrent m’embrasser en pyjama, Pascale monta les border. Une fois seuls elle me dit :
    
    — Tu sais ce que vient de me demander Hélène ?
    — Non.
    — Si tu dormais ici !
    — Qu’as tu répondu ?
    — Tu es bête !
    
    Pascale servit les cafés.
    
    — C’est la première fois depuis longtemps que je bois le café avec un homme chez moi à cette heure.
    — Çà te fait quoi ?
    — C’est étrange, un sentiment de bien-être, de tranquillité, comme si les événements pénibles de ma vie étaient ...
    ... suspendus.
    — Moi aussi je suis bien…
    
    Elle se cala au creux du fauteuil, but son café lentement, alluma une cigarette anglaise. Je restais silencieux. Le désir me gagnait. Je ne savais comment l’exprimer, je décidai de boire ma tasse puis me lever pour partir. Si elle me retenait je l’enlacerais et me jetterais à l’eau. À ce moment-là une porte s’ouvrit au premier étage, puis on entendit des pas dans l’escalier.
    
    — Je reconnais le pas d’Hélène, qu’a-t-elle trouvé pour ne pas dormir ?
    — Maman, mon appareil dentaire me fait mal.
    — Ne le mets pas cette nuit, nous passerons le faire régler demain.
    
    Hélène nous embrassa et disparut. Je me levai, fis part de mon intention de partir.
    
    — Déjà ?
    — Oui, sinon je vais avoir envie de rester.
    — Pourquoi pas, la maison est grande, nous avons une chambre d’ami, j’y repasse le linge, si tu dors mal tu pourras m’avancer un peu… Veux-tu un digestif, j’ai un cognac délicieux ?
    
    Je m’assis, Pascale posa deux verres et vint à mes côtés. Nous dégustâmes lentement le vieil alcool. Nous ne disions rien, échangions des regards, des sourires. Elle posa sa tête sur mon épaule. Je tournai mes lèvres vers les siennes. Après le premier baiser je partis à la découverte de son corps. Mes mains découvrirent ses hanches, ses épaules, ses seins, son ventre. Quand je commençai à glisser une main curieuse entre ses jambes, elle écarta mon geste avec tendresse, se leva et me dit :
    
    — Viens, je vais te montrer ta chambre.
    
    Je la suivis sans bruit. Elle me ...
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