Au restaurant des cheminots
Datte: 22/09/2019,
Catégories:
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Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe
... tout ce qu’il te faut.
— Oui, je n’ai pas besoin de grand-chose.
Adrien l’attend assis sur son lit. Il aimerait bien être auprès d’elle pour pourvoir la contempler en culotte.
— Adrien, je ne sais pas comment sécher mon pantalon.
— Attends, j’ai un sèche-cheveux, je rentre pour te le donner.
Tout heureux de cette invitation, il rentre en évitant de la regarder afin de ne pas la gêner. Sortant l’appareil, il lui tend derrière son dos.
— Oh, tu peux te retourner, je suppose que tu as déjà vu une fille en culotte.
Enchanté par cette proposition, il pivote et découvre entièrement les jambes. Son regard s’attarde un peu, ce qui fait sourire sa compagne.
— Tiens la partie mouillée tendue afin je puisse la sécher, lui dit-elle.
— Attend, on est un peu à l‘étroit. Passons dans la chambre.
— Volontiers, nous serons mieux.
Dans la salle de bain, il a eu une vue partielle du corps. Mais maintenant il peut admirer l’ensemble. Chantal sourit et commence le séchage du vêtement. L’opération terminée, elle le récupère, l’examine satisfaite, mais elle tarde pour l’enfiler. Adrien n’y tient plus, c’est de la provocation. Il s’approche d’elle, saisit sa tête et l’embrasse, sur les lèvres. Il trouve une bouche accueillante qui apprécie cette initiative, qu’au fond d’elle-même elle espérait.
Le couple prolonge longuement le baiser. Lui en profite pour vérifier que les fesses sont bien fermes.
Toutefois, le temps presse, elle doit aller travailler.
— Chantal, si ...
... tu es libre ce soir, nous pourrions aller nous promener. Je t’attendrai en bas, sinon monte me chercher.
— Oui, mais comment entrer ?
— La porte du couloir allant dans la rue est ouverte toute la journée. Pour la nuit, j’ai une clé.
— D’accord, je serai là.
Ils sont descendus rapidement et ont rassuré Irène, la tache était effacée.
— Par la même occasion, tu aurais pu effacer le rouge à lèvre ! lui dit-elle.
Chantal rougit, ne sait où se mettre. Mais elle est rassurée quand elle voit les deux autres rire.
— Il faudra appliquer à Chantal le même tarif qu’à moi.
— Oh, si c’est toi qui le demandes, c’est d’accord.
L’après-midi a paru long à la jeune fille et à l’heure pile, elle s’est précipitée vers l’entrée. Personne ! Un coup d’œil dans la salle, rien. Alors elle se décide de monter à la chambre. Un coup discret à la porte, pas de réponse. Pourvu qu’il ne soit pas parti. Elle essaie de tourner la poignée et le battant cède. Sans bruit elle entre. Il est bien là, dormant torse nu, à plat ventre, les mains de chaque côté de la tête. Il est magnifique, ses muscles sculptent son dos. Il est trop chou !
Sans bruit, elle se met nue et s’allonge auprès de lui. Elle lui touche involontairement le bras. Il tourne la tête, lève les yeux, surpris mais formidablement heureux.
— Je rêvais de toi, nous faisions l’amour, c’était délicieux.
— C’était si bon que ça ?
Il se rapproche, saisit la tête et l’embrasse. Au passage il découvre la nudité de sa compagne. En ...