L'Algérien Du Quai Augagneur
Datte: 21/09/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: bychabachaba, Source: Literotica
... missionnaire. Je préférai le missionnaire car j'aimais son odeur, dont le nez dans son poitrail, je pouvais alors m'enivrer. Puis venait son éjaculation, où il me gratifiait souvent de quelques mots : « je te féconde, ma gazelle... » Ou moins sympa : « Prends-ça au fond, la pute! ».
Je m'allongeais alors contre lui sous les draps, je nettoyais sa queue avec ma bouche de tout reste de sperme ou de graisse et je le branlais ensuite, lentement et longtemps, lovée contre son flanc, et je lui suçais encore doucement les seins, ressentant en moi cette plénitude de mon fondement tellement ouvert, encore palpitant, dont je sentais s'échapper et couler sur l'intérieur de mes cuisses le sperme de mon mec. Dans ses instants, j'étais vraiment une femelle, heureuse, comblée, écoutant la respiration apaisée de celui qui pouvait tout sur moi. A ces moments-là je comprenais, je vivais le sens entier des mots « se donner » et « être (bibliquement) prise ».
Il y avait parfois même une troisième mi-temps...
Quand il voulait enfin dormir, il me renvoyait chez moi, où souvent je me finissais au poignet. Et ainsi deux ou trois fois par semaine.
Avec les semaines, j'ai senti que je ne l'intéressais pas comme personne (il était marié avec enfants au pays), c'est ma bouche chaude et ma « chatte » et mon corps jeune qui seuls l'intéressaient. Il a même fait quelques photos de moi « en action », mon visage avec son sperme sur mes lèvres ou mon derrière avec mes fesses bien bombées et ...
... l'anus ouvert, rose et noir, et des trainées blanches le long de mes cuisses. Un soir, il y avait dans le salon un autre arabe avec lui devant la télé (c'était un soir de foot je me rappelle) et j'ai dû le sucer et faire mon service domestique en string devant cet autre type. Je l'ai fait les yeux baissés. La fois suivante, le même arabe était encore présent et j'ai dû cette fois le sucer et l'avaler, ce que j'ai fait, puis me laisser « monter » (avec capote) par ce type, à genoux sur le canapé, la tête face au mur. Ce second type est revenu d'autres fois, toujours pour le même scenario. Puis aussi un autre arabe encore, pas bien beau et avec un ventre proéminent, bien plus vieux celui-là, qui voulait que je sois « câlin » avec lui (des baisers dans la bouche, me frotter contre lui...), qu'il fallait sucer longtemps avant qu'il soit assez ferme pour m'enculer et me besogner péniblement. Il me prenait en levrette comme une chienne, c'était à moi de bouger et de venir m'empaler sur sa queue, ça durait longtemps et je devais simuler les petits cris d'une femelle satisfaite, pendant qu'il faisait jouer entre ses doigts le bout mes seins...
J'ai compris alors que mon type me prostituait. J'ai eu peur et des images tournaient dans ma tête : la mise en abattage en foyer à Villeurbanne ou ailleurs avec peut-être dix types à la suite, être baisée sans capote pour faire payer plus les clients, une séquestration loin de Lyon voire une vente a des réseaux de prostitution internationaux... ...