1. La soirée des anciens du lycée (1)


    Datte: 13/03/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Nkari, Source: Xstory

    ... adulte et j’ai fondé une famille. C’est du passé, tout ça.
    
    — Du vent ! J’suis sûr que ça ne disparaît pas comme ça, et que la meuf qui aimait me bouffer la bite dans le bois derrière le parc est toujours là.
    
    — Non... non, murmure-t-elle avec de moins en moins d’assurance. Elle a disparu.
    
    — Ah ouais ? Eh ben je donnerais cher pour la retrouver, même rien que pour une petite pipe.
    
    Il la voit hésiter. Il se colle presque à elle et lui murmure à l’oreille :
    
    — Juste une pipe, rien d’autre. Promis.
    
    — D’accord, finit-elle par abdiquer.
    
    Elle est la première à se diriger aux toilettes. Il attend quelques secondes avant de la suivre, la queue déjà bien dure. Il savait bien qu’elle finirait par lui céder.
    
    Dolorès a le cœur qui bat la chamade. Elle fait une énorme connerie, elle le sait, mais la situation l’excite trop. Il y a longtemps qu’elle ne s’était pas sentie dans un état pareil. Son string est trempé. C’est avec appréhension qu’elle pousse la porte des toilettes des femmes. Juste une fille en train de se laver les mains. Dolorès fait mine de se recoiffer en attendant que l’autre parte. Une fois fait, elle fait signe à Tiago de la rejoindre. Cette fois c’est trop tard pour reculer.
    
    L’homme, un sourire carnassier aux lèvres, pénètre à l’intérieur et ferme la porte derrière lui. Il saute directement sur Dolorès et l’embrasse langoureusement tout en lui pelotant seins et cul. Il s’en donne à cœur joie, d’autant plus que la donzelle semble bien ...
    ... apprécier.
    
    Dolorès s’agenouille maintenant devant son amant. Elle lui flatte l’énorme bosse située à l’entrejambe. En quelques mouvements, voilà la verge, un énorme morceau, libre de pointer avec envie vers le visage de Dolorès. La main de cette dernière agrippe l’engin et le caresse doucement. Sentir cette bite glisser entre ses doigts creuse l’appétit de la blonde.
    
    — Alors finalement, reprend Tiago, qui c’est qui a la plus grosse ? Lui ou moi ?
    
    — Toi, sans conteste, reconnaît-elle en se léchant les babines.
    
    — Je savais bien. Bouffe-moi la bite maintenant.
    
    Dolorès obéit et suçote le gros gland. Tiago lui prend la tête et s’engouffre de lui-même plus profondément. Calée devant les lavabos, elle ne peut pas reculer. De toute façon, elle n’en avait pas l’attention. Elle préfère se laisser dominer par le désir charnel masculin. Elle a toujours aimé qu’un homme s’empare de son corps. Elle lèche, suce, aspire et tète la hampe de son amant avec fougue. Lui, il impose le rythme à coups de bassin.
    
    Elle a une pensée fulgurante pour son époux, se demandant comment il réagirait, mais cette pensée est très vite chassée par tous les souvenirs de ses crapuleries d’antan. Elle se souvient des nombreux amants qu’elle avait eus cette année et les quelques qui ont suivi. Même son prof de philo lui avait grimpé dessus ! Toutes ces images la mettent terriblement en feu.
    
    — Baise-moi, finit-elle par cracher.
    
    — Tu es sûre ? s’étonne Tiago.
    
    — Baise-moi, putain ! hurle-t-elle ...
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