I - Liaisons dangereuses (51)
Datte: 20/09/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: flyx13, Source: Xstory
... me lève pour suivre Jenny, quelques pas derrière elle.
Nous sortons de la boîte et elle reste debout sur le trottoir ; je me place à ses côtés, sans rien dire, puis elle lève le bras pour faire signe à un taxi qui vient s’arrêter devant nous. Nous montons dans le véhicule chacun de notre côté et Jenny commande au chauffeur de se rendre à notre hôtel ; nous sommes assis chacun à une extrémité de la banquette, on ne se regarde pas mais je sens une certaine tension entre nous. Le chauffeur de taxi, alerté par l’accent de Jenny, se met à discuter avec nous, ou plutôt avec elle ; elle lui explique d’où nous venons, pourquoi nous sommes ici, que nous aimons beaucoup l’endroit, bref, une discussion tout ce qu’il y a de plus banale dans un taxi, surtout au Québec où les gens sont particulièrement avenants et amicaux.
Nous arrivons à l’hôtel, il est assez tard et c’est très calme ; nous marchons côte à côte, en silence, pour nous rendre à l’ascenseur que nous attendons religieusement. Une fois celui-ci arrivé, nous grimpons dedans et au moment précis où les portes se referment, simultanément, nous nous jetons au cou l’un de l’autre, nous mettant à nous embrasser avec une passion débordante, passion amplifiée de mon côté par la frustration que je ressens depuis tout à l’heure. On rebondit sur tous les murs de la cabine en s’enlaçant frénétiquement, nos mains parcourent nos corps, nos langues se mêlent, des soupirs s’envolent puis la porte contre laquelle je bloque Jenny finit ...
... par s’ouvrir et nous bondissons hors de l’ascenseur, toujours enlacés, bousculant au passage un homme qui attendait là.
— Bon sang, pouvez pas attendre d’être dans vot’ chambre pour ça, osti d’câlisse ! s’écrie-t-il.
— Pardon, désolé Monsieur ! Dis-je en retenant Jenny pour éviter qu’elle ne tombe.
Je marche dans le couloir à pas pressés en tirant presque Jenny par la main et une fois que nous avons passé un angle, elle me retient et vient à son tour me plaquer contre le mur pour m’enlacer.
Nous mettons cinq bonnes minutes pour parcourir les quelques dizaines de mètres nous séparant de notre chambre, alternant baisers et caresses fougueuses, et si je ne peux pas déshabiller Jenny, elle a déjà commencé à dénouer le nœud de ma cravate qu’elle avait si bien fait elle-même et à défaire ma ceinture. Arrivés devant la porte, j’arrive à mettre, je ne sais comment, la carte de déverrouillage à son emplacement pour l’ouvrir et une fois dans la chambre, la porte fermée, plus aucune retenue.
Jenny arrache littéralement ma chemise et ma cravate, dévoilant rapidement mon torse qu’elle se met à embrasser tout en me griffant le dos de ses ongles alors que je m’efforce de descendre la petite fermeture éclair de sa robe. Une fois fait, je fais rapidement glisser cette dernière à terre et Jenny se retrouve seins nus, simplement vêtue d’un joli tanga en dentelle noir. Je plonge mon visage dans sa poitrine tout en continuant à la faire reculer jusqu’à ce qu’on finisse par être ...