Sur ce coup là, j'aurais mieux fait de me taire (2) - Histoires de Sexe

Sur ce coup là, j'aurais mieux fait de me taire (2)

... ma grande surprise c’est moi qui avais pris l’initiative. Je ne me reconnaissais pas, je me sentais honteuse, je me sentais dévergondée; mais finalement ce n’était pas si désagréable que de se donner du plaisir entre femmes. Nous nous sommes fait du bien mutuellement jusqu’à 9h50 avant d’intégrer nos bureaux, d’où nous échangions désormais des regards complices et coquins. Toute la semaine a été comme ça, à savoir que tous les matins nous nous bécotions, nous caressions et nous faisons du bien. J’ai apprécié le fait que Marie ne vienne pas nous déranger le matin, elle a juste ouvert la porte le vendredi matin avec un commentaire:

— excusez-moi je vous dérange.

Nous étions en train de nous embrasser avec passion et toutes les deux savions qu’elle avait fait exprès d’ouvrir la porte sans doute pour nous déconcentrer.

Un mois plus tard, un samedi soir une fois l’agence fermée, Marie est passée me voir juste pour me dire quelle avait constaté avec grand plaisir que Muriel et moi nous étions réconciliés. Elle m’a expliqué que peut-être que Muriel avait été un peu trop rapide avec moi, mais toutes les deux étaient persuadées que j’étais faite pour aimer et donner du plaisir à une femme. C’est vrai que finalement Muriel et moi nous entendions à merveille et surtout que nous commencions à bien nous connaître physiquement. Nous nous étions à ce point rabibochées que Muriel venait à nouveau à la maison mais par contre maintenant nous faisions des choses et surtout nous ...

... passâmes notre première nuit ensemble. Dès notre première nuit ensemble, nous nous sommes couchées nues toutes les deux et avons commencé à nous caresser sous la couette. Il n’y a pas à dire Muriel avait beaucoup plus d’assurance que moi mais manifestement, j’apprenais très vite.

La chose qui m’enivrait le plus, une fois que nous étions sous les draps, c’était nos odeurs de femmes; j’adorais ce mélange de fragrances intimes et cela me montait à la tête. Il faut dire que Muriel était une ravissante femme rousse, je ne sais pas pourquoi les roux sentent plus fort mais son odeur m’excitait maintenant très fort. Quand j’ai senti ses mains commencer à me caresser la poitrine, je n’ai pas su quoi faire d’autre que de m’offrir à ses caresses. Je n’avais aucun doute, ma collègue avait de l’expérience dans ce domaine et j’en profitais pleinement. Je n’avais jamais vu la pointe de mes seins à ce point érigée, à ce point épaisse, à ce point sensible; j’aurais voulu que jamais elle ne s’arrête tant elle me faisait du bien. Moi qui m’étais carrément plainte à ma supérieure le mois précédent, j’étais maintenant demandeuse de ce que me prodiguait ma collègue centre laquelle je m’étais plainte. Ma chef avait raison Muriel était passée à l’action un tout petit peu trop tôt.

Je me suis étonnée à plonger sous les draps pour aller faire un cunnilingus à ma collègue qui manifestement a beaucoup apprécié mon initiative. Cette odeur de rouquine m’excite au plus haut point et le goût de son ...