11 - Voir, et... être vu !
Datte: 20/09/2019,
Catégories:
hh,
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grossexe,
sexshop,
Oral
double,
hdanus,
Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe
... genoux coincés dans le pli de ses coudes, je guide sa queue en moi. Ainsi écarté, il joue à se faire désirer, ne coulissant que de quelques centimètres pour me taquiner, puis finalement se rengage totalement.
Malgré la position, je parviens à le saisir par les hanches pour le tirer compulsivement en moi. La pression monte, je glisse vers un état second pour lequel l’alcool n’est sûrement pas innocent. Ma tête tourne de gauche à droite, mes reins me brûlent, mais lui ne le voit pas ainsi, il sort de mes fesses.
Assis les jambes écartées, ses couilles s’étalent sur la table de part et d’autre de son mât pointé vers le plafond. Je me lève et viens m’asseoir sur mon pal préféré, face à lui. Ses mains sous mes fesses, il m’encourage à me laisser glisser, répétant que nous allons jouir en même temps.
Ma tête sur son épaule, j’embrasse son torse de mes bras et lui dis de m’achever. Son nœud retrouve le fond de mon ventre, ma prostate, elle, retrouve tout le massage dont elle a besoin. Il me fait naviguer d’avant en arrière, de haut en bas, je ne peux que le sentir.
— Putain que j’adore baiser avec toi, lance Patrick. Tu as un cul de rêve que bien des femmes t’envieraient ! Oh oui, saute sur ma queue !
Il se lâche, mon sphincter tente en vain de l’écraser, mais c’est peine perdue. Si je le sens bien, j’en veux plus, et lui demande de s’allonger complètement. Mes jambes enfin repliées, je démarre une série de coups de cul d’anthologie. Il me perce le ventre, ma ...
... queue mi-molle virevolte dans les airs. Loin d’être inactif, mon fougueux amant entame lui aussi la danse du bassin, m’assenant des coups de queues à une vitesse que je ne lui savais pas envisageable.
Les yeux clos, le visage déformé par la violence de mon orgasme, je vais sur lui comme une locomotive folle. Lui, ses mains sur mes cuisses, crie d’un râle continu, comme ses athlètes ayant recours à leurs dernières forces pour atteindre la victoire. Mon cul semble exploser, mon ventre est en feu, et le gland de Patrick lance explose en longs jets dans mon ventre.
Nos cris sont à l’unisson, chaque jet claque quelque part en moi, plus rien n’a d’importance. Le rythme se calme légèrement, nous sommes trop emballés pour arrêter net. Mécaniquement, j’envoie encore quelques coups de reins en arrière pour répondre à ses spasmes. Puis, épuisé, je m’affale sur lui.
Il caresse mon dos machinalement. Nos poitrines sont collées de sueur, elles se soulèvent rapidement tant nous sommes essoufflés. Mon cul me brûle énormément, mon ventre est hors concours, mais je m’en fiche. Ce n’est vraiment rien au vu de la puissance de notre plaisir.
Une dizaine de minutes s’écoulent ainsi. Mon mec commence à perdre de sa consistance. Je redresse le torse et découvre une mare de sperme. Je me dégage avec lenteur pour qu’il sorte de mon ventre. Dans un « floc » caractéristique, sa queue tombe dans mon sperme. De mon anus dilaté, sa semence liquéfiée s’écoule sur son sexe. Il n’a encore pas fait ...